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Il y aura des journées et des temps difficiles Et des nuits de souffrance qui semblent insurmontable Où l'on pleure bêtement les deux bras sur la table Où la vie suspendue ne tient plus qu'à un fil ; Mon amour je te sens qui marche dans la ville

tout le monde est souriant dans le monde et pourtant l'irritation de tous contre tous augmente...

hier j'ai fait une petite inspection des galéries au centre de la ville. une exposition m'a plue. Eleriin Ello, jeune artiste de Tallinn, avec The Sweetest Thing à Tallinn Art Gallery. un maquet d'homme au plancher et une million de papillons qui s'envole de son coeur... cette idée - papillons cachés dans les coeurs - m'a plue beaucoup...

Ces journées grises il vaut mieux d'écouter le pop primitif et vivifiant. Mais on a repris un titre mélancolique de Christophe... Pardonnez mes nasaux...

D'une part j'ai aimé la décision de Bénoit XVI et ses dernieres paroles prononcées avant de quitter le Saint-Siège (Je rends grâce au Seigneur pour les quelques rayons de soleil qu’il nous offre!...) C'est curieux mais je lis à ces jours "Nerte" de Mistral où il s'agît d'un autre pape, Bénoit XIII, qui refusait violemment de quitter ses fonctions bien qu'il soit assiégé en Avignon par ses adversaires (Le condotierre Boucicaut / Maréchal du roi de France, / est donc venu avec ses t…

hier à la chaîne MGM j'ai vu The Comfort of Strangers de Paul Schrader. un film très somnambulique et répétitif. un garçon et une fille se promènent la nuit à Venise sous la musique mystérieuse de Badalamenti. ils ne peuvent pas trouver leur hôtel. jusqu'à ce que finalement ils rencontrent un homme dans un costume blanc ... à la fin du film il se révèle que les messagers de malheur ne sont nécessairement pas vêtus en noir.

Tout ce qui peut être beau chez une personne n'est pas disponible pour les autres.

Toi, chasseur de peuples, vent du mistral Balayeur des cieux, porteur des calamités Mugissant, combien je t'aime! Ne sommes-nous pas deux rejetons d'une seule souche Le premier accomplissement d'une promesse Eternellement prédéterminé? une des oeuvres les plus curieuse de Nitzsche est un Lied intitulé An den Mistral qui a été traduit en provençal en 1905. Le philosophe y chante le vent-libérateur avec lequel il compare son ésprit prophétique....

hier j'ai vu un film de Julie Delpy "2 Jours à New York". je l'ai regardé sans enthousiasme, les personnages ne m'étaient pas proches ainsi que la motivation de leurs actions. il m'a paru de plus que Julie Delpy est un peu trop sévère par rapport aux Français qui sont représentés dans le film d'une manière très spéciale...) soudain vers le finale le film rejette les petits ennuies familiales et avance des problèmes de tout autre ordre - art, marketing de l'art et de l'âme, par exemple... donc,…

viens ici surmonte ce remue-ménage regarde ici ce ciel est à nous ce ciel est à toi et à moi ce ciel est à ceux qui ne connaîssent pas la douleur ni le rire ni la joie ouvre tes yeux regarde, comment le monde bouge comment la lune se noie dans le golfe les arbres boivent l'éther nocturne les routes comme les veines se dispersent sur le corps de la Terre un jour à un de ces chemins tu vas disparaître

le film La vie de Pi raconte l'histoire d'un garçon qui traverse l'océan au canot de sauvetage en compagnie d'un tigre. étrangement beau est cruel.

Le février est un mois de gens fatigués et désireux de faire la fête. Pour le moment quand même pas de feu d'artifice, on attend en noir et blanc...

j'ai lu à l'internet des choses étonnantes sur Arles, des choses qui me font réfléchir un peu sur les Français et leurs habitudes. il s'agît de l'appreciation de la ville par les Français qui en masse critiquent fortement la capitale de la Camargue. d'après eux c'est une ville qui regarde dans le passé et qui exploite le patrimoine sans dinamisme etc etc... voilà un exemple de la critique, j'ai fait un screen, c'est la ressource http://www.linternaute.com/ville/ville/temoignage/142/arles.shtml…

si tu a le talent de créer les chimères, tu as la chance de tomber un jour amoureux...

la ville de Senigallia que j'ai visité le premier juin...

Hier mes basquets m’ont amené à Euronics. Le premier que j’y ai vu, était Tanel Padar, notre star de rock estonien. Il proposait à tous les nouveaux venus à acheter Philips. Or, je n’ai pas suivi ses recommandations et j’ai choisi Scott, un appareil jusqu’ici inconnu. Il s’est trouvé que c’est un boumbox sympa qui reproduit tous les formats necessaires et qui a un design agréable. J’écoute maintenant les vieux discs à un nouvel appareil et j’éprouve un petit entrain, je m’apprête à l’a…