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chine
chine
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"Un homme était amoureux de la planète Vénus et chaque soir de ciel étoilé, il s’allongeait devant sa maison pour déclarer son amour à la planète inaccessible, du moins… le croyait-il !
Un soir où il rêvait ainsi, le cœur plein d’amour et le corps plein d’émois, il entendit une voix très douce chuchoter à son oreille :
- Je suis touchée de ta ferveur, et impatiente de te serrer dans mes bras, viens me rejoindre, viens…
Il se leva d’un bond, il avait bien reconnu la voix de l’aimée, même s’il ne l’avait jamais entendue. La planète Vénus enfin avait perçu son amour et répondait à sa flamme.
- Mais comment puis-je faire pour arriver jusqu’à toi, je ne suis qu’un homme ?
Elle murmura toute proche :
- Regarde le rayon de lune qui scintille jusqu’à tes pieds, approche-toi, monte dessus et quand tu seras sur la Lune, tu trouveras un autre rayon que j’ai déposé pour toi et qui te conduira jusqu’à moi…
L’homme monta sur le rayon et avec facilité s’éleva jusqu’à la Lune. Sur cette planète, il découvrit comme promis le rayon de Vénus et commença à s’élever vers elle.
A mi-chemin, il eut soudain cette pensée : « Mais ce n’est pas vrai, je rêve, ce n’est pas possible qu’un homme puisse ainsi marcher sur le rayon d’une planète… »
Et avec le doute qui naquit ainsi en lui, il trébucha, tomba… et s’écrasa des milliers de kilomètres plus bas… sur Mars.
Avant de mourir, il eut le temps d’entendre la voix de son aimée qui murmurait tout contre son oreille.
- Il ne suffisait pas de m’aimer, ni de me faire confiance, encore fallait-il que tu puisses croire en tes ressources, que tu oses te faire confiance à toi-même !
Ainsi se termine le conte de l’homme qui ne savait pas que le possible est juste un petit peu après l’impossible.
"Contes à guérir, Contes à grandir" Jacques Salomé
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Un soir où il rêvait ainsi, le cœur plein d’amour et le corps plein d’émois, il entendit une voix très douce chuchoter à son oreille :
- Je suis touchée de ta ferveur, et impatiente de te serrer dans mes bras, viens me rejoindre, viens…
Il se leva d’un bond, il avait bien reconnu la voix de l’aimée, même s’il ne l’avait jamais entendue. La planète Vénus enfin avait perçu son amour et répondait à sa flamme.
- Mais comment puis-je faire pour arriver jusqu’à toi, je ne suis qu’un homme ?
Elle murmura toute proche :
- Regarde le rayon de lune qui scintille jusqu’à tes pieds, approche-toi, monte dessus et quand tu seras sur la Lune, tu trouveras un autre rayon que j’ai déposé pour toi et qui te conduira jusqu’à moi…
L’homme monta sur le rayon et avec facilité s’éleva jusqu’à la Lune. Sur cette planète, il découvrit comme promis le rayon de Vénus et commença à s’élever vers elle.
A mi-chemin, il eut soudain cette pensée : « Mais ce n’est pas vrai, je rêve, ce n’est pas possible qu’un homme puisse ainsi marcher sur le rayon d’une planète… »
Et avec le doute qui naquit ainsi en lui, il trébucha, tomba… et s’écrasa des milliers de kilomètres plus bas… sur Mars.
Avant de mourir, il eut le temps d’entendre la voix de son aimée qui murmurait tout contre son oreille.
- Il ne suffisait pas de m’aimer, ni de me faire confiance, encore fallait-il que tu puisses croire en tes ressources, que tu oses te faire confiance à toi-même !
Ainsi se termine le conte de l’homme qui ne savait pas que le possible est juste un petit peu après l’impossible.
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