"pauvres voix humaines" comme disait René Grousset

"comment l'homme consent-il à faire ce qu'il fait sur cette terre, lui qui doit mourir ?" (Chateaubriand)


30 May 2014

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"pauvres voix humaines" comme disait René Grousset

cette composition photocopiée il y a déjà quelque temps (regardez les ordinateurs, c'est avant l'an 2000) est un extraordinaire RESUME DE L'HISTOIRE HUMAINE, non ? ET ce d'autant plus que le texte en hiéroglyphes au milieu dit "qu'il vive éternellement" .... enkaspsuligo de l'homa historio, ankaŭ la destino, egiptanoj jam vidis la problemon : "li vivu eterne" sopiras la hieroglifoj.

30 May 2014

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les ecclésiastiques ne se prenaient pas pour de la merde!

1953 ou peu de temps après, jusqu'à cette époque les ecclésiatiques ne "se prenaient pas pour de la merde" ! comme on dit. De nos jours ce sont d'autres catégories de la population qui se payent cette mine là... vidu tiun moŝtulan pastron, kiu subskribas, estis malmute da tempo post 1953. Tiuepoke la ekleziuloj havis altan opinion pri si mem ĉu ne aspektas?! (parenteze, sur la foto videblas la tri fortranĉitajn fingrojn de mia patro, kio ne malhelpis lin ludi la pianon)

31 May 2014

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voilàc'estçalavie - vivo estas tio

ça n'est pas fait exprès, mais quel beau symbole du temps des gens des souvenirs de l'existence qui s'en vont

31 May 2014

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MauriceRollinat

dans les faubourgs de Bourges à côté d'un hotel à visage humain, la rue Maurice Rollinat. C'est le poète qui a écrit "La peur de la mort est en moi Et jamais rien ne me délivre De ce perpétuel effroi. Rien pas même l'horreur de vivre" J'avais lu ces quatre vers quand j'avais douze ans, au détour d'un article de "La Vie des Bêtes". Maintenant on peut lire et télécharger tous ses poèmes, gratis, ici : www.florilege.free.fr/rollinat/index.htm et ici aussi: poesie.webnet.fr/auteurs/RO.html

31 May 2014

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je ne sais ni où ni qui. Il y a mon oncle sous-off année 1946 sansdoute

Je ne sais où, (sans doute en Allemagne occuppée) ni qui est sur la photo (mais il doit y avoir mon oncle, sous-off dans les dragons, sans doute l'homme à droite), ça doit être en 1946

31 May 2014

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photo 1943

autre essai de paraître bourgeoise ! mais plus maladroit !! (heureusement les chapeaux de l'époque étaient plus beaux que la mode actuelle) alia provo aperi riĉa, sed hm, oni vidas la artifikon !

31 May 2014

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LouiseJulietteWargniezjeunedanssonjardindeMalincourt

dans son jardin elle avait les cheveŭ noirs et fins, le nez busqué, ce qui lui donnait un air un peu espagnol. Après tout, au XVIIè siècle il y a eu des garnisons espagnoles dans le Cambraisis; ça fait quatre siècles, mais dans la région du Poitou on trouve bien encore des gens physiquement de type arabe (j'en ai connu un, inspecteur à l'ONIC Bordeau) quatorze siècles après.

31 May 2014

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la vie... la mort

Cette photo a été prise en novembre 1943 (1) Le petit chat si content de jouer à coté de sa maman venait de naître en septembre 1943 la mère était née au mois d'août 1932 ... Elle est morte trois mois plus tard, en février 1944. La personne qui a pris la photo, qui aimait tant ses chats, et qui avait pieusement noté toutes ces informations au dos de la photo est morte aussi depuis. (1) et pendant ce temps-là ailleurs des hommes s'entretuaient ... Mais de ne pas s'entretuer ça n'empêche pas non plus de mourir quand-même

31 May 2014

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baiser

même cette petite fille vit-elle encore ? pas sûr. " Elle (l'ancienne servante noire d'Aziyadé) va bientôt mourir, c'est certain; ses yeux qui, après les miens,étaient les seuls ayant regardé Aziyadé avec tendresse, vont s'éteindre et se décomposer; cette image d'Aziyadé, qui persistait encore au fond de sa tête finissante, bientôt n'existera plus... Quand nous mourons, ce n'est que le commencement d'une série d'autres anéantissements partiels, nous plongeant toujours plus avant dans l'absolue nuit noire. Ceux qui nous aimaient meurent aussi; toutes les têtes humaines, dans lesquelles notre image était à demi conservée, se désagrègent et retournent à la poussière; tout ce qui nous avait appartenu se disperse et s'émiette; nos portraits, que personne ne connaît plus, s'effacent;--et notre nom s'oublie." Pierre Loti - 1892 « Fantômes d'orient »
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