vivement l'été pour aller sur la plage et déguster une bonne bière (fabriquée dans l'édifice de droite marqué "Molson").
Quickly summer to go the beach and have a good cold beer (made in the building named "Molson" at right)
Ce navire s'appelait, il y a longtemps, Alexandre Pushkin. Au cours des jeux olympiques de 1976 à Montréal, il était ancré dans le port et il aurait servi de centre de dopage pour les athlètes soviétiques. Maintenant, il ne fait que promener les gens fortunés dont certains utilisent peut-être d'autres types de drogues, légales ou non.
Vieux-Port de Montréal et pont Jacques-Cartier. La Tour de l'horloge est à gauche. Au fil du temps, elle joue tous les rôles : commémorer le souvenir des marins disparus, marquer l'entrée du port, cacher les hangars voisins, et bien sûr… indiquer l’heure!
La tour de l'Horloge est érigée entre 1919 et 1922, d'après des plans de l'ingénieur montréalais Paul Leclaire. Du haut de ses 45 mètres, elle marque l'entrée du port et sert de monument commémoratif dédié aux marins de la Marine marchande disparus en mer au cours des grands conflits mondiaux.
Son mécanisme d'horlogerie, d'une grande précision, a été fabriqué en Angleterre par la compagnie Gillett and Johnston, qui en a fait une réplique du fameux Big Ben de Londres. Comme Big Ben, sa précision est proverbiale. Les navigateurs avaient d’ailleurs pris l’habitude de régler leurs chronomètres sur ses cadrans. La tour de l’Horloge rythmait les activités du port au temps où la montre-bracelet n’était pas d’usage courant. On raconte même que lorsque l’horloge cessait de fonctionner, plusieurs ouvriers du port arrivaient en retard!
Grâce à sa puissante lampe, la tour servait également de phare pour les navires entrant dans le port. À l’origine, elle dissimulait à la vue les hangars qui s'alignaient sur les quais.
Monument désigné « Édifice fédéral classé du patrimoine » depuis 1996, la tour de l’Horloge offre à ceux et celles qui ont le courage de grimper ses 192 marches, une vue spectaculaire sur le fleuve Saint-Laurent et la ville de Montréal.
La goélette Grosse-Île est le symbole de ces navires appelés voitures d'eau qui, au début du XIXième siècle, naviguaient sur le fleuve Saint-Laurent à voile, puis à voile et à moteur et, vers le milieu du XXième siècle, essentiellement à moteur.
Dernière goélette de sa catégorie construite à quille, elle est un des derniers témoins matériels de notre patrimoine maritime et d'une certaine façon d'habiter le continent.
Seule rescapée des goélettes à quille du Saint-Laurent, la Grosse-Île est issue de la longue tradition maritime américaine qui a engendré ce type de goélettes de travail propre à l'Amérique du Nord.
La Grosse-Île a été construite en 1951 au chantier maritime Fillion de Saint-Laurent, Île d'Orléans, pour la défense nationale.
Jusqu'en 1975, La goélette Grosse-Île ravitaillait une île du même nom utilisée par le gouvernement fédéral comme station de quarantaine qui a reçu des milliers d'immigrants irlandais et qui est maintenant un lieu historique national.
Restaurée à partir de 1996, La goélette Grosse-Île est maintenant utilisée pour des croisières.
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