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Beethoven – Sonata No. 23 Appassionata 3rd Movement by Kassia youtu.be/ByS9DHxysSI?si=11JHmQjIc2XmJm6A

Arielle DOMBASLE - Amour symphonique youtu.be/fai586YIAhQ?si=XJrVrZTwlHyyIBPn

Krystian Zimerman - Beethoven, Piano Concerto No. 5 - II Adagio Leonard Bernstein. Wiener Philharmoniker youtu.be/cd9rg9v25bo?si=VEvKQuY7mkAOjxpG "Des pétales frais comme la rosée matinale Se sont posés sur mon coeur devenu glacial C'est comme si la chaleur et la douceur S'étaient gelées par la peur de la douleur Sur ma peau comme la tienne, les traces sont là Les traces du passé, les parfums des maux endurés Les traces ne s'effacent pas au fil de nos pas Notre peau est passée, et tous ceux que nous avons aimés"

Merci infiniment pour ces iris bleus , ami très cher, avec toute mon émotion. Sotho Blue - Abdullah Ibrahim piano and Ekaya saxo youtu.be/UbcxkE6f_EM?si=QiA4YSYX55KMLRSr "Près des étangs où la libellule voltige, Où, dans les soirs d'été, vient se baigner l'oiseau, On aperçoit l'Iris, qui tremble sur sa tige Et semble un papillon posé sur un roseau. Du bleu foncé des mers elle reçut l'empreinte, Prise à l'heure où la nuit noircit l'azur des cieux. Seule parmi les fleurs elle offre cette teinte, La plus chère à l'esprit et la plus douce aux yeux. Sur la terre, du bleu la Nature est avare, Et les poètes sont réduits à le rêver ; Si le pinceau s'applique à le rendre moins rare, C'est que vers l'Idéal l'Art tend à s'élever. Des Zéphirs printaniers docile messagère, Comme une voile au vent toujours prête à flotter, La forme de l'Iris, vaporeuse et légère, Est l'image de l'âme en train de nous quitter. Aux rayons du soleil qui brille sur la plage, Sa transparence émet une lueur dans l'air, Semblable au feu follet qui court avant l'orage Et disparait soudain, absorbé dans l'éther."

Cécile McLorin Salvant - Over the Rainbow (Live at Jazz at Lincoln Center) youtu.be/WPOLHmvdhzU?si=K-smSDiHipeQDbXT "Beautiful arms even Hercules could not grace. Like two pythons, leave a man breathless in embrace. And the pressure they do impart, Have the power to forever imprison your lover in your heart. I could never forget her sweet smelling perfumed hair. Blowing in the air as if God's winds, were trying to stare..."

Melody Gardot - Once I Was Loved youtu.be/Rw7QqhGRk9Y?si=DM4oFowuIxfD3p-n I don't remember When I was young I don't recall the day When I first saw the sun But what I am certain What is enough is just to remember That once, once I was loved I still surrender The troubles I know No use pretending All the troubles ain't my own But what I am certain What is enough is just to remember That once, once I was loved After the years gone by What amounts to the years in a life What have we come to When we reach our final days If we can surrender And that is enough Just to remember that once Once we were loved Once we were beautiful Once we were loved If we can surrender And that is enough Just to remember that once Once we were loved

Élégie, Fauré – Gautier Capuçon & Malta Philharmonic Orchestra youtu.be/dEPrpa1sAmA?si=cJmeJjVP7a22omfB ''L'astre du jour montait au sommet de la dune; Je l'attendais assise depuis la veille au soir En suivant dans le ciel la course de la lune: Mais ce matin pour moi le soleil était noir. Le soleil était noir sur la ligne de crête, Immobile, écrasé comme un vieil oripeau Par la main de ces dieux, invisible et discrète Qui laisse son empreinte à jamais sur la peau...''

www.youtube.com/watch?v=y9vrFrtbzLs J'AURAIS VOULU ... J'aurais voulu partir ailleurs, Là où les hommes ne trichent pas, Même si la probité n'existe Que dans les contrées d'utopie. J'aurais voulu marcher des jours Et m'arrêter sous les tonnelles Pour m'y souvenir du vieux temps Et oublier tous mes soucis. J'aurais voulu d'une aventure Sur une belle île féérique, Ou m'embarquer sur un navire Pour une croisière fantastique. J'aurais voulu y croire encore A notre grand amour impossible, Et me préparer pour le grand soir Où je serais devenu un héros. J'aurais voulu toujours combattre Et défendre toutes les libertés, Puis me reposer au pied de l'âtre Pour y vivre mon éternité. Bernard Lanza