Aquarelle

Texture


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textures et effets

Le visage plongé à Terre Clore un instant ses paup…

27 Mar 2011 3 643
Tout ce vacarme Taché de larmes Jusqu'au bout desarme Tout n'est pas dit A peine décrit Tiré de l'oubli Le temps de dire Le temps de taire Le temps de faire juste reconnaissance Le temps d'entendre Juste un peu de silence Rien d'important Que l'essentiel Une mesure absente Un rien laissé A la portée D'une vie impuissante Le temps d'écrire Le temps d'entendre Le temps de faire juste reconnaissance Le temps d'entendre Juste un peu de silence Le visage plongé à Terre Le visage plongé à Terre Clore un instant ses paupières Pour chercher ce qui nous éclaire Pendant ce temps Le temps s'enterre Le temps de faire juste reconnaissance Le temps d'entendre Juste un peu de... Juste un peu de silence.

Printemps

10 Mar 2011 1 598
Erzuli Erzuli Je l'ai vu là-haut Là-haut L'esprit éternel M'émerveille J'attends que coule la fontaine (partie en arabe) Un sourire M'émerveille Le printemps est arrivé jusqu'ici Le palais de l'avenir Grâce à toi Est devant moi Le printemps est arrivé jusqu'ici Le printemps est arrivé Le printemps est arrivé Un sourire M'émerveille

Je prends des sentiers peu faciles

28 Mar 2011 4 366
Sur fond noir Je marche fragile comme une jonquille Poussé au dos par un grand vent Et toutes les pensées qui m'habillent Me donnent un air de cerf volant Je prends des sentiers peu faciles Qui vont trainant sur les collines Où des tas d'arbres un peu graciles Me tendent leur bras et leurs racines Je Voyage, Je Voyage Et dans ma tête et dans mes reins L'idée de toi fait son chemin (2x) Je passe tranquille dans les forêts J'arrête un soir sous une cascade Pour y siffler un vieux menuet Avec des oiseaux de parade Je trouve la mer au bout du ciel Dans l'eau les planctons étincellent Et dans le noir toutes les étoiles Gonflent mon äme comme une voile Je Voyage, Je Voyage Et dans ma tête et dans mes reins L'idée de toi fait son chemin (2x) Je croise sans fin des cabarets Des zincs mouillés et des gens ivres Dans les pays où le ciel livre Des tonnes d'envies et de regrets Je plonge mon coeur dans des regards Où flottent ennuis et désespoirs Puis je repars pour voir ailleurs Si le monde enfoui n'est pas meilleur Je Voyage, Je Voyage Et dans ma tête et dans mes reins L'idée de toi fait son chemin (2x)

Ouvre les yeux Et commence ta nouvelle vie

09 Oct 2010 2 2 451
DA pesar la muerte En fin yo te encontre Eres bien real ? O eres el fruto de mis pensamientos ? [Sophia :] Me quieres tanto Pero amor, yo no soy mas Yo no soy que el sueño Que tu querias tener vivo [Cesar :] Escribo las lineas de un libro Que ya esta terminado Por quien querer vivir Si no es la realidad [Sophia :] Abre los ojos Pon fin a tu agonia Abre los ojos Y empieza tu nueva vida Cesar : ] Malgrè la mort Enfin je te rencontre Es-tu bien réelle ? Ou es-tu le fruit de mes pensées ? [Sophia : ] Tu m'aimes tant Mais amour, moi je ne suis plus Moi je ne suis qu'un rêve Que tu aimerais avoir vivant [Cesar : ] J'écris les lignes d'un livre Puisque que c'est fini Pour qui vouloir vivre Si ce n'est pas réel [Sophia : ] Ouvre les yeux Pour donner fin à ton agonie Ouvre les yeux Et commence ta nouvelle vie

Voici qu’une île est en partance Et qui sommeillai…

04 Apr 2011 5 5 696
Une île Une île au large de l’espoir Où les hommes n’auraient pas peur Et douce et calme comme ton miroir Une île Claire comme un matin de Pâques Offrant l’océane langueur D’une sirène à chaque vague Oh, viens Viens mon amour Là-bas ne seraient point ces fous Qui nous disent d’être sages Ou que vingt ans est le bel âge Voici venu le temps de vivre Voici venu le temps d’aimer Une île Une île au large de l’amour Posée sur l’autel de la mer Satin couché sur le velours Une île Chaude comme la tendresse Espérante comme un désert Qu’un nuage de pluie caresse Oh, viens Viens mon amour Là-bas ne seraient point ces fous Qui nous cachent les longues plages Viens mon amour Fuyons l’orage Voici venu le temps de vivre Voici venu le temps d’aimer Une île Et qu’il nous reste à bâtir Mais qui donc pourrait retenir Les rêves que l’on rêve à deux Une île Voici qu’une île est en partance Et qui sommeillait en nos yeux Depuis les portes de l’enfance Oh, viens Viens mon amour Car c’est là-bas que tout commence Je crois à la dernière chance Et tu es celle que je veux Voici venu le temps de vivre Voici venu le temps d’aimer Une île

Pour n'être plus le pantin du hasard

27 Nov 2010 6 4 976
Découvrez Puisque des filets nous retiennent Puisque nos raisons nous enchaînent Que rien ne brille sous nos remparts Et puisqu'on n'atteint pas le ciel A moins de s'y brûler les ailes Et suivre les routes où l'on s'égare Comme on dresse un étendard A corps perdu, ivre et sans fard Pour n'être plus le pantin d'un espoir Et si la vie n'est qu'une cause perdue Mon âme est libre d'y avoir enfin cru A corps perdu Puisque les destins sont les mêmes Que tous les chemins nous ramènent A l'aube d'un nouveau départ On n'apprend rien de nos erreurs A moins de s'y brûler le coeur Je suivrai les routes où l'on s'égare Comme on dresse un étendard A corps perdu, ivre et sans fard Pour n'être plus le pantin d'un espoir Et si la vie n'est qu'une cause perdue Mon âme est libre d'y avoir enfin cru A corps perdu A corps perdu A corps perdu j'écrirai mon histoire Je ne serai plus le pantin du hasard Si toutes les vies sont des causes perdues Les hommes meurent de n'avoir jamais cru De n'avoir pas vécu ivres et sans fard Soldats vaincus pour une guerre sans victoire Et si ma vie n'est qu'une cause perdue Je partirai libre d'y avoir au moins cru A corps perdu

Chaos

07 Apr 2011 4 4 432
Je veux tes cheveux sous la neige Quelque part au ciel de Norvège Et puis te prendre par la main Sous un soleil d'été romain. Je veux des rendez-vous bizarres, Dans un avion, dans un couloir, Avec des frissons de rencontres, Une heure de plaisir à nos montres. Je veux que tes yeux brûlent encore Aux premiers feux d'avant l'aurore Et puis déposer sur tes lèvres Le baiser d'un jour qui se lève. Les plaisirs d'amour, bonjour. Les plaisirs d'une heure, menteur. Je veux que tes cris te trahissent, Que tu m'attires comm'en enfer Au plus profond d'un précipice D'éclats de sang et de lumière. Je veux briller dans ton miroir, Deviner ton corps dans le noir Et puis me noyer dans tes yeux D'océan triste, d'océan bleu. Je veux qu'on explose en douceur, Que tu m'en veuilles, que tu en meures Et délirer des mots d'amour Au dernier feu d'un soleil lourd. Les plaisirs d'amour, bonjour. Les plaisirs d'une heure, menteur. Je veux te faire devenir folle Par des caresses, par des paroles Et puis que ton c�ur me réponde Comm'un écho du fond du monde. Je veux aller plus loin encore, Derrière l'amour, derrière la mort, Ne plus atteindre aucun rivage Et me confondre à ton image. Je veux délirer mes amours Jusqu'à l'aurore d'un nouveau jour Et puis m'endormir avec elles A la clarté d'un nouveau ciel. Les plaisirs d'amour, bonjour. Les plaisirs d'une heure, menteur.

Avec deux fois rien Tu peux aller plus loin

07 Apr 2011 2 2 416
Je t'écris des mots purs J'ai gommé les ratures Et là sur le papier j'ai effacé tes fautes Au fur et à mesure C'est pas d'la grande écriture Juste un peu de lecture Quelques instants volés Qui se sont envolés Au fur et à mesure Et si le facteur assure Avec deux fois rien On peut aller très loin Je serai là demain Et de tes mains Tu vas me décol'ter Me décacheter Et me déshabiller Au fur et à mesure Je n'suis pas vraiment sûre Qu'aucune éclaboussure De tes yeux jaillira Lorsque tu me liras Au fur et à mesure D'aventure en rupture J'ai connu des fractures Mais ma plus belle bavure C'est de t'avoir laissé Au fur et à mesure Et si le facteur assure Avec deux fois rien Tu peux aller plus loin Tu seras là demain Et de mes mains Te désenvelopper Te décacheter Et te déshabiller Au fur et à mesure Et si le facteur assure Avec deux fois rien On peut aller très loin On sera là demain Et de nos mains Se désenvelopper Se décacheter Et se déshabiller Au fur et à mesure Je t'écris des mots purs J'ai gommé les ratures Et là sur le papier j'ai effacé mes fautes Au fur et à mesure ...

Je ne vois plus rien, de très urgent,

03 Jul 2005 7 4 359
youtu.be/ARKYcsSnuw4 A travers les entempéris, Les mauvaises passes, Les jours d'ennui, Pense à moi, Pense à moi, Si t'en as envie. Je ne sais plus où courent tous ces gens, Mais c'est sans doute très important, Pour y passer, y passer, autant de temps, Moi je me suis mis dans un jardin, A cultiver les fleurs du bien, Pense à moi, Pense à moi, Si t'en as besoin, Tu vas croire que c'est encore loin, Mais c'est juste au bout d'un chemin, Et là, tu reconnaitras les fleurs du bien, Pense à moi, pense à moi si t'en as besoin. Près d'un piano désaccordé, En attendant que vienne une idée, Tu seras, tu seras, toujours, où me trouver Je sais bien que le monde est grand, Et qu'il faut regarder de l'avant, Mais pense à moi, pense à moi si t'en as le temps. Moi je me suis mis dans un jardin, A cultiver les fleurs du bien, Pense à moi, pense à moi, Si tu en as besoin. Tu vas croire que c'est encore loin, Mais c'est juste au bout d'un chemin, Et là tu reconnaitras les fleurs du bien, Pense à moi, pense à moi si t'en as besoin. Je te dis ça autant que j'en ris, Puisque l'humour ne change pas la vie, Pense à moi, pense à moi, si t'as envie, Je sais à peu près ce qui m'attend, Et même après quoi courent les gens, Je ne vois plus ne vois plus rien, de très urgent, Pense à moi, pense à moi, hoo Pense à moi, pense à moi... Là au fond de mon jardin A cultiver les fleurs du bien, Hum... les fleurs du bien, hum... Pense à moi, pense à moi hum... Pense à moi,..., pense à moi... Mais là au fond du jardin, A cultiver les fleur, à cultiver les fleurs du bien, Pense à moi, Pense à moi.

Quand le soir descend C'est une histoire ancienne…

09 Apr 2011 3 2 703
J'aime, tous les jours de la semaine Du lundi au samedi, aucun problème Le dimanche matin, idem Ce n'est qu'en début d'après-midi Que le temps s'alourdit J'ai le blues du dimanche soir J'ai le blues, le blues à grimper dans l'autocar J'ai le blues, le blues, un mal au ventre, idées noires J'ai le blues, le blues du dimanche soir Embrassez vos parents, ce n'est qu'un au revoir Porte d'Orléans à six heures moins le quart En route pour l'internat, l'échec scolaire L'humiliation lambda,violence ordinaire C'est une histoire ancienne qui me colle à la peau Un boulet que j'traîne dans mon sac d'ado J'ai le blues du dimanche soir Ce dégoût des cars qui vous fait broyer du noir J'ai le blues, le blues du dimanche soir Cette boule, ce nœud, gravés dans ma mémoire J'ai beau me dire que tout ça c'est du passé Qu'aujourd'hui je vis ma vie comme il me plait Quand la nuit tombe sur le jour du seigneur Y a toujours une ombre pour me pourrir le cœur J'ai le blues, le blues du dimanche soir

Jusqu'a c'qu'il n'y ait plus rien...

09 Apr 2011 3 2 343
Il ne reste que quelques minutes à ma vie Tout au plus quelques heures je sens que je faiblis Mon frère est mort hier au milieu du désert Je suis maintenant le dernier humain de la terre On m'a décrit jadis, quand j'étais un enfant Ce qu'avait l'air le monde il y a très très longtemps Quand vivaient les parents de mon arrière grand-père Et qu'il tombait encore de la neige en hiver En ces temps on vivait au rythme des saisons Et la fin des étés apportait la moisson Une eau pure et limpide coulait dans les ruisseaux Où venaient s'abreuver chevreuils et orignaux Mais moi je n'ai vu qu'une planète désolante Paysages lunaires et chaleur suffocante Et tous mes amis mourir par la soif ou la faim Comme tombent les mouches... Jusqu'a c'qu'il n'y ait plus rien... Plus rien... Plus rien... Il ne reste que quelques minutes à ma vie Tout au plus quelques heures, je sens que je faiblis Mon frère est mort hier au milieu du désert Je suis maintenant le dernier humain de la terre Tout ça a commencé il y a plusieurs années Alors que mes ancêtres étaient obnubilés Par des bouts de papier que l'on appelait argent Qui rendaient certains hommes vraiment riches et puissants Et ces nouveaux dieux ne reculant devant rien Étaient prêts à tout pour arriver à leurs fins Pour s'enrichir encore ils ont rasé la terre Pollué l'air ambiant et tari les rivières Mais au bout de cent ans des gens se sont levés Et les ont avertis qu'il fallait tout stopper Mais ils n'ont pas compris cette sage prophétie Ces hommes-là ne parlaient qu'en termes de profits C'est des années plus tard qu'ils ont vu le non-sens Dans la panique ont déclaré l'état d'urgence Quand tous les océans ont englouti les îles Et que les inondations ont frappé les grandes villes Et par la suite pendant toute une décennie Ce fut les ouragans et puis les incendies Les tremblements de terre et la grande sécheresse Partout sur les visages on lisait la détresse Les gens ont dû se battre contre les pandémies Décimés par millions par d'atroces maladies Puis les autres sont morts par la soif ou la faim Comme tombent les mouches... Jusqu'à c'qu'il n'y ait plus rien... Plus rien... Plus rien... Mon frère est mort hier au milieu du désert Je suis maintenant le dernier le humain de la terre Au fond l'intelligence qu'on nous avait donnée N'aura été qu'un beau cadeau empoisonné Car il ne reste que quelques minutes à la vie Tout au plus quelques heures, je sens que je faiblis Je ne peux plus marcher, j'ai peine à respirer Adieu l'humanité... Adieu l'humanité...

Imprégnez-vous du cri du peintre ............ ..…

10 Apr 2011 7 8 474
Connaissez-vous le cri du peintre? Ce chant sourd né de la contrainte Quand le moindre ciel bleu l’éreinte Il aborde la toile enceinte Prête d’accoucher de ses craintes Entendez-vous le cri du peintre? Il tâtonne, cherche l’empreinte Puis s’enflamme à guetter l’étreinte De la gitane en demi-teinte Nue qui pose en offrande sainte Écoutez bien le cri du peintre! Sa lampe de chevet éteinte Là où la nature est défunte Traquant dans le verre de l’absinthe Le contour d’une coloquinte Imprégnez-vous du cri du peintre De l’homme pendu à son cintre Du pillard qui ose l’enfreinte Qui fait surgir l’eau de la plinthe Fait de la putain une sainte Barbouillez-vous du cri du peintre Pour sa cible jamais atteinte L’éclat d’un raisin de Corinthe L’osier, l’eau, le parquet, la plinthe L’allaitement du jour qui pointe Picassez-vous du cri du peintre Le cri de la craie qui veut vaincre Et l’haleine, la toux, la quinte La quête de tout et l’enceinte Qui emmure les murmures du peintre Connaissez-vous le cri du peintre?

Porque yo no quiero dejar de creer

07 Apr 2011 5 432
Dice que la vida se hace con la suerte Yo tengo la suerte de vivir en paz Fui un poco de todo, un poco diferente Sin politizar y sin poetizar C´est comme ça, c´est comme ça... corazon Como no me gusta la melancolia Ando sin remedio buscando que hacer El amor prefiero hacertelo de dia Me gustan tus ojos y tu timidez C´est comme ça, c´est comme ça... corazon Refrain : Porque yo no quiero dejar de creer No tengo mucho que perder Tengo la vida que quise tener Pero no, no tengo nada que ocultar Lo que vivi se olvidara Lo que aprendi fue para continuar Sabes bien, que hace ya tiempo Que deje, de ser un tipo Que hace todo bien, como los demas Aprendi la vida con la diferencia Que aprendi a mirarme sin ambiguedad Vieron malos ratos sobre la conciencia Pero no me gusta la fatalidad C´est comme ça, c´est comme ça, corazon El mundo se hace cargo de la cobardia El dinero le hace daño a la felicidad Quedate un poco mas que esta llegando el dia Recuerda que mañana es solo un dia mas Refrain J'ai dit que la vie se fait avec la chance moi j'ai la chance de vivre en paix j'ai été un peu de tout, un peu différent sans faire de politique sans faire de poésie es asi, es asi, mon coeur comme je n'aime pas la mélancolie je vais de l'avant sans guérir en cherchant quoi faire l'amour je préfère te le faire de jour j'aime tes yeux et ta timidité es asi es asi mon coeur parce que je ne veux pas arrêter de croire je n'ai pas grand chose à perdre j'ai la vie que j'ai eu envie d'avoir mais non, je n'ai rien à cacher ce que j'ai vécu s'oubliera ce que j'ai appris fut pour continuer tu sais bien qu'il y a longtemps que j'ai arrêté d'être un type qui fait tout bien comme les autres j'ai appris la vie avec la différence que j'ai appris à me regarder sans ambiguité ils ont vu de mauvais moments sur la conscience mais je n'aime pas la fatalité es asi es asi mon coeur Le monde prend en charge la couardise l'argent fait du mal à la félicité reste un peu plus longtemps car le jour est en train d'arriver rappelle -toi que demain est seulement un jour en plus.

Juste à l'endroit du coeur

11 Apr 2011 3 4 684
Ce soir il neige jusqu'en enfer Il gèle à fendre des cailloux Y a du blanc jusque sur la mer Le ciel touche la terre au bout Dehors il fait un froid de chien Un froid de chagrin de décembre Et de tous les cotés s'éteint Le feu qui couve sous la cendre Et pourtant, pourtant moi j'ai chaud Je sue le sang et l'eau Je brûle à l'intérieur Juste à l'endroit du coeur Pourtant moi j'ai chaud J'ai le feu à la peau Je brûle pour le pire A l'endroit du désir. Ce soir même le temps est gelé Il fait pas bon trainer dehors Les heures durent des années Les quatre points marquent le nord Le blizzard cogne à la fenêtre Il y a du givre sur les étoiles Même le jour se retient de naître Pour ne pas déchirer la toile Pourtant, pourtant moi j'ai chaud Je sue le sang et l'eau Je brûle à l'intérieur Juste à l'endroit du coeur Pourtant moi j'ai chaud J'ai le feu à la peau Je brûle pour le pire A l'endroit du désir. Et pourtant J'ai chaud Et pourtant J'ai chaud

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