Krisonteme's photos
Et depuis ce matin ça roucoule
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Santos.... la plage
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c'est une plage de plusieurs dizaines de km .....la ville a fait en sorte de déclarer tout le littoral en zone verte et a planté un jardin ...pour éviter que le bord de mer soit bétonné ....mais arriveront ils a lutter contre les promoteurs voraces .......
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Découvrez !
Tout est bon dans l'cochon
Du groin jusqu'au jambon
C'est bon.
La rate et les rognons
La queue en tire-bouchon
C'est bon.
Désormais je veux chanter l'cochon
Le pâté, l'saucisson
Répétons sur cet air polisson :
"Qui c'est qu'est bon ? C'est l'cochon, c'est bon !"
Je pourrais dire bien des choses
Sur son talent
Il a la couleur des roses
Sans leurs piquants.
Et puis quand on a terminé
Les bons morceaux
Reste de quoi faire des souliers
Et des pinceaux !
(Et çà c'est beau !)
Tout est bon dans l'cochon
Du groin jusqu'au jambon
C'est bon, c'est bon, c'est bon !
La rate et les rognons
La queue en tire-bouchon
C'est bon, c'est bon, c'est bon !
Désormais je veux chanter l'cochon, (lalala !)
Le pâté, l'saucisson
Répétons sur cet air polisson
Qui c'est qu'est bon ? C'est l'cochon, c'est bon !
C'est bon !
C'est bon !
C'est bon, c'est bon, c'est bon !
C'est bon !
En ces temps de régime allégé
La résistance
Passe par le gobage effréné
D'rillettes du Mans.
C'est une drogue une friandise
A un tel point
Qu'on en planque dans les valises
Comme Jean Gabin
(Cà, c'est pas bien, il faut pas l'faire)
Tout est bon dans l'cochon
Du groin jusqu'au jambon
C'est bon !
La rate et les rognons
La queue en tire-bouchon
C'est bon, c'est bon, c'est bon !
Désormais je veux chanter l'cochon
Le pâté, l'saucisson
Répétons sur cet air polisson
Qui c'est qu'est bon ? C'est l'cochon, c'est bon !
C'est bon !
C'est bon !
C'est bon !
It is good !
Couplet philosophique :
Euh, rassurez-vous, philosophique de base, hein !
Le cochon est tellement sage
Qu'en son honneur
Je vous délivre un message
Qui vient du coeu-eur
Battons-nous pour les droits d'l'homme
Avec raison
Puisqu'on dit souvent qu'les hommes
Sont des cochons !
(Eh ah non hey hey !)
Tout est bon dans l'cochon
Du groin jusqu'au jambon
C'est bon !
La rate et les rognons
La queue en tire-bouchon
C'est bon !
Désormais je veux chanter l'cochon
Le pâté, l'saucisson
Répétons sur cet air polisson :
{Choeur}
C'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon !
Houla mon p'tit gars, j'vais t'dire :
Tu sais c'qui est bon ? C'est l'cochon !
C'est bon !
Ouf ...il nous a raté....de peu !
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Rio ...au loin ....
Maceio Bresil
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Le printemps s’annonce
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Bon dimanche
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Marseille
À Marseille
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Vu de la rue du Village
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Basilique Notre-Dame-de-la-Garde
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Basilique
Notre-Dame-de-la-Garde
Vue générale de l'édifice
Vue générale de l’édifice
Nom local La Bonne Mère
Pays Drapeau : France France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département
Blason departement Bouches-du-Rhone
Culte Catholique romain
Type Basilique mineure
Rattaché à Archidiocèse de Marseille
Début de la construction 1853
Fin des travaux 1874
Autres campagnes
de travaux rénovation 2001-2008
Style(s) dominant(s) Néo-byzantin
Notre-Dame de la Garde, également appelée localement « la Bonne Mère » est une des basiliques mineures de l'Église catholique. Elle est située sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude au sud du Vieux-Port de Marseille, surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort.
Construite par l'architecte Henri Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au XVe siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du XVIe siècle construit par François Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille[1].
La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la Libération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges.
À Marseille, Notre-Dame de la Garde est traditionnellement considérée par la population comme la gardienne et la protectrice de la cité.
Notre-Dame de la Garde is a basilica located in Marseille, France. This ornate Neo-Byzantine church is situated at the highest natural point in Marseille, a 162 m (532 ft) limestone outcrop on the south side of the Old Port. As well as being a major local landmark, it is the site of a popular annual pilgrimage every Assumption Day (August 15). Local inhabitants commonly refer to it as la bonne mère ("the good mother").[1]
A minor basilica of the Catholic church, it is situated on a limestone peak of 149m (490 feet), on the walls and foundations of an old fort. Built by architect Henri-Jacques Espérandieu in the Neo-Byzantine style, the basilica was consecrated on 5 June 1864. It replaced a church of the same name built in 1214 and reconstructed in the 15th century. The basilica was built on the foundations of a 16th-century fort constructed by Francis I of France to resist the 1536 siege of the city by the Emperor Charles V. The basilica is made up of two parts: a lower church, or crypt, dug out of the rock and in the Romanesque style, and an upper church of Neo-Byzantine style decorated with mosaics. A square bell-tower of 41m (135 feet) is surmounted by a belfry of 12.5m (42 feet) which itself supports a monumental, 11.2m (27 feet) tall statue of the Madonna and Child made out of copper gilded with gold leaf.[2]
The stone used for the construction of the basilica, in particular the green limestone originating in the area surrounding Florence, was discovered to be sensitive to atmospheric corrosion. An extensive restoration took place from 2001 to 2008. This included work on the mosaics, damaged by candle smoke, and also by the impact of bullets during the Liberation of France at the end of World War II.
In Marseilles, Notre-Dame de la Garde is traditionally regarded by the population as the guardian and the protectress of the city.
Chez moi à Marseille
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youtu.be/fdQ4MqSGE7A
C'est comme quand on retombe un jour
Sur une photo ancienne
Le papier a un peu jauni
Mais les couleurs reviennent
Alors on fait les yeux fermés Un retour en arrière
Oh! j'espère que je serai toujours
Chez moi à Marseille
Et le Vieux-Port qui semblait lancer
Les deux bras vers la mer
Est-ce qu'il se souvient que déjà
Je chantais pour lui plaire
Je ne l'ai pas aimé tous les jours
Mais j'ai souffert loin de lui
Oh! j'espère que je serai toujours
Chez moi à Marseille
C'est vrai, Bien souvent j'oublie la distance
Qui m'a fait quitter les rues de l'enfance
Je suis parti loin pour saisir ma chance
Mais pas assez pour ne plus que j'y pense
Oh, Marseille
C'est comme quand on reste Trop longtemps
À fixer le soleil
On ouvre les yeux doucement
Et les couleurs reviennent Un peu plus belles
Comme ces années de misère et de joie Passées là-bas
Oh! j'espère que je serai toujours
Chez moi à Marseille
C'est vrai, Bien souvent j'oublie la distance
Qui m'a fait quitter les rues de l'enfance
Je suis parti loin pour saisir ma chance
Mais pas assez pour ne plus que j'y pense
Oh, oh, oh
Je suis chez moi
Marseille
C'est vrai, Bien souvent j'oublie la distance
Qui m'a fait quitter les rues de l'enfance
Je suis parti loin pour saisir ma chance
Mais pas assez pour ne plus que j'y pense
Non, pas assez pour ne plus que j'y pense
Je suis chez moi à Marseille
Je suis chez moi à Marseille
Chez moi, Marseille
Chez moi
À Marseille
et oui , à pieds depuis le port , à Marseille
Marseille jardin du Pharo. Missak (dit Michel) Man…
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LE MIROIR ET MOI
Dans tes yeux de la fatigue et sur ton front tant de rides,
Parmi tes cheveux les blancs, vois, tant de blancs camarade…
Ainsi me parle souvent l'investigateur miroir
Toutes les fois que, muet, je me découvre seul en lui.
Tous les jours de mon enfance et les jours de ma jeunesse
Je – cœur parfois tout disjoint – les brimais pour l'holocauste
Sur l'autel des vanités tyranniques de ce temps,
Naïf – tenant pour abri l'espoir tant de fois promis.
Comme un forçat supplicié, comme un esclave qu'on brime
J'ai grandi nu sous le fouet de la gêne et de l'insulte,
Me battant contre la mort, vivre étant le seul problème…
Quel guetteur têtu je fus des lueurs et des mirages !
Mais l'amertume que j'ai bue aux coupes du besoin
S'est faite – fer devenue – que révolte, qu'énergie :
Se propageant avec fureur mon attente depuis
Enfouie jusqu'au profond du chant m'est cri élémentaire.
Et qu'importe, peu m'importe :
Que le temps aille semant sa neige sur mes cheveux !
Cours fertile qui s'élargit et qui s'approfondit
Au cœur de toute humanité très maternellement.
Et nous discutons dans un face-à-face, à "contre-temps",
Moi naïvement songeur, lui ironique et lucide;
Le temps ? Qu'importe ce blanc qu'il pose sur les cheveux :
Mon âme comme un fleuve est riche de nouveaux courants.
PRIVATION
La question, des amis parfois me la posent:
" Comment vis-tu donc, et comment l'âme ardente
Veux-tu donner force aux cœurs qu'a fuis l'espoir ?
Le pain et le besoin sont ton lot pourtant."
Quand j'erre dans les rues d'une métropole,
Toutes les misères, tous les dénuements,
Lamentation et révolte l'une à l'autre,
Mes yeux les rassemblent, mon âme les loge.
Je les mêle ainsi à ma souffrance intime,
Préparant avec les poisons de la haine
Un âcre sérum – cet autre sang qui coule
Par tous les vaisseaux de ma chair, de mon âme.
Cet élixir vous semblerait-il étrange ?
Il me rend du moins la conscience du tigre,
Lorsque dents et poings serrés, tout de violence,
Je passe par les rues d'une métropole.
Et qu'on dise de moi: il est fou d'ivresse,
Flux et reflux d'une vision
Ne cessent d'investir mes propres pensées,
Et je me hâte, assuré de la victoire.
Traduction de l'arménien par Gérard HEKIMIAN
Source: LA POESIE ARMENIENNE
Anthologie des origines à nos jours
Réalisée sous la direction de Rouben Mélik
Les Editeurs Français Réunis
21, rue de Richelieu – Paris 1er
Dernière Lettre de Missak Manouchian
Ma Chère Mélinée, ma petite orpheline bien-aimée,
Dans quelques heures, je ne serai plus de ce monde. Nous allons être fusillés cet après-midi à 15 heures. Cela m'arrive comme un accident dans ma vie, je n'y crois pas mais pourtant je sais que je ne te verrai plus jamais.
Que puis-je t'écrire ? Tout est confus en moi et bien clair en même temps.
Je m'étais engagé dans l'Armée de Libération en soldat volontaire et je meurs à deux doigts de la Victoire et du but. Bonheur à ceux qui vont nous survivre et goûter la douceur de la Liberté et de la Paix de demain. Je suis sûr que le peuple français et tous les combattants de la Liberté sauront honorer notre mémoire dignement. Au moment de mourir, je proclame que je n'ai aucune haine contre le peuple allemand et contre qui que ce soit, chacun aura ce qu'il méritera comme châtiment et comme récompense. Le peuple allemand et tous les autres peuples vivront en paix et en fraternité après la guerre qui ne durera plus longtemps. Bonheur à tous... J'ai un regret profond de ne t'avoir pas rendue heureuse, j'aurais bien voulu avoir un enfant de toi, comme tu le voulais toujours. Je te prie donc de te marier après la guerre, sans faute, et d'avoir un enfant pour mon bonheur, et pour accomplir ma dernière volonté, marie-toi avec quelqu'un qui puisse te rendre heureuse. Tous mes biens et toutes mes affaires je les lègue à toi à ta sœur et à mes neveux. Après la guerre tu pourras faire valoir ton droit de pension de guerre en tant que ma femme, car je meurs en soldat régulier de l'armée française de la libération.
Avec l'aide des amis qui voudront bien m'honorer, tu feras éditer mes poèmes et mes écrits qui valent d'être lus. Tu apporteras mes souvenirs si possible à mes parents en Arménie. Je mourrai avec mes 23 camarades tout à l'heure avec le courage et la sérénité d'un homme qui a la conscience bien tranquille, car personnellement, je n'ai fait de mal à personne et si je l'ai fait, je l'ai fait sans haine. Aujourd'hui, il y a du soleil. C'est en regardant le soleil et la belle nature que j'ai tant aimée que je dirai adieu à la vie et à vous tous, ma bien chère femme et mes bien chers amis. Je pardonne à tous ceux qui m'ont fait du mal ou qui ont voulu me faire du mal sauf à celui qui nous a trahis pour racheter sa peau et ceux qui nous ont vendus. Je t'embrasse bien fort ainsi que ta sœur et tous les amis qui me connaissent de loin ou de près, je vous serre tous sur mon cœur. Adieu. Ton ami, ton camarade, ton mari.
Manouchian Michel.
P.S. J'ai quinze mille francs dans la valise de la rue de Plaisance. Si tu peux les prendre, rends mes dettes et donne le reste à Armène. M. M.
http://www.netarmenie.com/histoire/dossiers/missak/lettre.php
Une deux.....
Concarneau
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tout en chocolat à Concarneau
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En Bretagne
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Comme en Nouvelle-Angleterre
Je veux changer d'atmosphère
Dans mon jardin d'hiver
Ma robe à fleurs sous la pluie de novembre
Tes mains qui courent, je n'en peux plus de t'attendre
Les années passent, qu'il est loin l'âge tendre