James Salter(photo Wikipedia)

J'ai fini "Le bonheur parfait" de James Salter.
Une tristesse infinie. J'ai voulu abandonner plusieurs fois.
C'est un écrivain que j'ai du mal à discerner: la base est tolstoïenne, mais les rythmes et accents sont ceux d'un malade. Comme la respiration d'un mourant: ça ralentit , s'accélère. Quand on attend qu'il développe un peu, il coupe.
Et le désespoir noir dessus.
Une amie voulait que je le lise. Sinon...
Je regarde par la fenêtre, admire mon travail d'hier: nettoyage de 2 grandes plates-bandes. Il me reste ...tout le jardin.
Il pleut, un peu.
Pause.
L.