sur les routes bretonnes
SATURDAY SELF CHALLENGE
les couleurs du jour
voila qui est dit,,,,
à méditer,,
l'instant,,,
un sdf ,,,
la vie en couleurs
un ange ,,, vu par les artistes
la rue est vivante,,,
donner partager,,
touchants sont les mots ...
poésie sur le mur
la vie est belle chez les graffeurs
surprise,,,
il n'y a pas de fond,
départ difficile,,,
le film commence,
oh mon bateau, c'est le plus beau des bateaux,,,
tiens un lapin
mais que fait il ?
un homme dans l'effort,
un jeune rouge gorge
le rouge gorge dans la lumière du soir
l'ombre et la lumière
évasion,,,,
un instant ...
shotting à la plage
dans l'attente,,,
devinez quoi qu'il y a la haut ,,,,
un petit coucou
bonne journée à tous
c'est grand bleu ,,,
la vie en couleurs,
avant le retour de l'hiver lundi
SATURDAY SELF CHALLENGE
il attend la mer,,
on a perdu la mer,,
un peu douceur ,,,
au revoir Patrick Juvet
méditation du chat,,
HAPPY FENCE FRIDAY
sur le toit du monde,,
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les couleurs du jour
Hommage à Charles BAUDELAIRE,,
dix fois vingt ans et bien vivant, le bicentenaire du poète génial et insupportable complexe et torturé une étoile noire qui fascine toujours,,
Homme libre, toujours tu chériras la mer !
La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer.
Tu te plais à plonger au sein de ton image ;
Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton coeur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ;
Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !
Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remord,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !
Charles Baudelaire
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dix fois vingt ans et bien vivant, le bicentenaire du poète génial et insupportable complexe et torturé une étoile noire qui fascine toujours,,
Homme libre, toujours tu chériras la mer !
La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer.
Tu te plais à plonger au sein de ton image ;
Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton coeur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ;
Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !
Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remord,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !
Charles Baudelaire
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Freundliche Grüße und schönes Wochenende
Erich
Une surface et un horizon calmes et beaux, comme tu sais les capter. Qui recèlent pourtant tant de tourmentes et de peines, d'histoires et de destins chaotiques...
Bon week-end à toi
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