"Tir, séance 26 juin 1961" (Niki de Saint Phalle)

Exposition Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely (Grand Palais)


Folder: Musées et expositions (Paris)

07 Aug 2025

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"Tir, séance 26 juin 1961" (Niki de Saint Phalle)

(voir note) Les premières œuvres de Niki de Saint Phalle remontent pour l'artiste à une période de dépression et d'internement, vers 1953, à l'issue de laquelle elle déclare que l'art l'a sauvée. Elle réalise des peintures dans la veine de l'art brut et des tableaux-reliefs qui incluent toutes sortes d'objets. En février 1961, elle commence une nouvelle série, les Tirs , libératrice tant au point de vue de ses expériences traumatisantes personnelles - elle a été abusée par son père à l'âge de 11 ans - que de sa condition de femme, et de surcroît de femme artiste. Elle confectionne des reliefs recouverts de plâtre dans lesquels elle inclut des poches de couleur, ou encore des œufs, et tire dessus à la carabine, ou fait tirer son entourage, pour "faire saigner la peinture".

07 Aug 2025

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"L'accouchement rose" (Niki de Saint Phalle - 1964)

(voir notes)

07 Aug 2025

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"Méta n° 3" (Jean Tinguely - 1970-1971)

Métal et moteurs.

07 Aug 2025

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"Homage to New York" (Jean Tinguely - 1960)

Métal, caoutchouc, moteur.

07 Aug 2025

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"Le monstre de Soisy" (Niki de Saint Phalle - 1966)

(voir notes)

07 Aug 2025

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Pas vraiment le même tour de taille !

(voir note)

07 Aug 2025

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"Jean-Jacques Rousseau" (Jean Tinguely - 1988)

Métal, matériaux divers, moteur.

07 Aug 2025

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Une œuvre (géante) de Tinguely

(voir notes) www.youtube.com/watch?v=X4J4sjpXESA "Dès les années 1950, Jean Tinguely, artiste-mécanicien, un peu magicien, crée des œuvres-machines aux mouvements loufoques, à partir des rebuts de la société. Rouages, manivelles, roues, ressorts : tout s’anime, cliquette, grince, vibre. Ces œuvres plus ou moins autodestructrices et ”inutiles” ne produisent rien, sinon de la surprise et du rire. Et c’est voulu ! Avec ces "anti-machines" Tinguely tourne en dérision la société industrielle et sa fascination pour le progrès technologique. L’artiste suisse revendique un art accessible à tous. Un art qui ne s’explique pas mais qui se vit, se ressent. Son souhait ? Amener chacun à "se débrouiller" face à l’œuvre, sans explications. Une façon de pouvoir interagir avec elles et de se les approprier librement. Alors ses machines invitent le public à s’approcher, à écouter, à se laisser porter par un ballet sonore imprévisible. Elles sont à la fois drôles et profondes : derrière leur mécanique brinquebalante se cache une critique du rythme effréné du monde moderne. Car pour Tinguely, l’art sert aussi à exprimer l’absurdité du monde moderne. Ses machines détraquées et ferraillées sont une critique de la soumission de l’Homme à la machine à l’ère de la consommation. À la manière des horloges, le bruit inhérent à ses sculptures cinétiques traduit le temps qui passe."

07 Aug 2025

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"Autel O.A.S." (Niki de Saint Phalle - 1962)

O euvre d' A rt S acré En réponse à l'OAS, organisation terroriste d'extrême-droite responsable de 1700 à 2200 morts, principalement en Algérie, en 1961 et 1962.
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