C'est moins risqué en hauteur !

Une époque ............******

l'âge du bronze...

:o)))

Je ne sais pas si ces CRS sont fêlés, mais ils ont un sacré grain ;-)))
Il n'est pas moins risqué de se percher pour prendre en photo des forces de l'ordre. En cas de charge, tu n'as pas la possibilité de prendre la fuite. J'ai vu un gars coincé dans un arbre à Paris qui s'est retrouvé au milieu d'une unité de CRS. Ils n'ont eu qu'à secouer l'arbre et il est tombé comme un fruit mur. Le comble pour ce "fruit mur", il a fini dans un panier à salade.

1976 a été mon année folle ! J'ai quitté mes patrons imprimeurs un beau matin, à 28 ans je voulais être photographe. Je me suis inscrit dans une agence, ce qui m'a permis d'avoir une carte de presse. Grace à elle, je couvrais toutes les manifs et pouvais franchir les barrages sans être inquiété. De toute façon, à l'époque, on passait pour un professionnel dès qu'on avait un reflex et une sacoche photo.
Je passais donc une partie de mes nuits à développer vite fait les pellicules et faire les tirages que j'expédiais le lendemain. Je n'ai jamais eu de nouvelles de l'agence et j'ai laissé tomber au bout de deux mois.
J'ai retrouvé mon métier quelques mois plus tard après d'autres "aventures"...

1976 a également été une année mémorable pour moi. Une année de transition et de folie. J'habitais rue du Fg St-Martin (métro Château d'eau) dans une chambre de bonne avec un évier sans eau chaude, au 7è étage sans ascenseur. L'année de mes 20 ans.

Elle était bizarre ton agence de presse. Te souviens-tu du nom ? A l'époque, Paris était la capitale mondiale de la photographie et il se créait une agence par jour. Ces agences ne tenaient souvent que quelques mois. Si ça se trouve, ton agence a mis la clé sous la porte sans crier gare !
En tout cas j'aime bien tes photos N&B en argentique. J'avais apprécié ton reportage sur le turf.