Ô tous ces soirs de silence

Où je criais à ton absence

Pleurant sur mon ennui !

Ô folle nostalgie !

Qui promène sur mon cœur

Ses chemins de langueur.



De quel pays lointain, une terre brûlée

Le souffle du divin a t-il soufflé

Pour que du passé tu reviennes

Hanter mes nuits de peine ?

La débâcle des heures revêt ses couleurs

Aux rimes de mes pleurs.



Ma poésie a fané au fil des jours

Plus que de longs discours.

Les mots sont devenus des cailloux

Si lourds pour un cœur câlin,

D’innombrables remous,

Au parcours du chagrin…

(c)Valériane



Cessez de penser que je suis triste ou malheureuse. il n'en est rien. juste une inspiration du moment sur laquelle je "brode".