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montre l'ombre

poème à LOU... Juste un extrait, du fond de ma mémoire, dédié à "celles que j'ai de si près connues" et à toutes celles qui sauront se souvenir des mots que je n'ai jamais prononcés qu'en rêve à bien des inconnues.

Aimer c'est endurer, sept ans durer, et bien davantage si c'est accepter de ne pas posséder ni d'être retenu prisonnier que de sa propre volonté... Le bonheur, au quotidien, est fait de ces mille et un petits riens qui constituent une histoire qui

de chaque instant . Etre le sujet de ses propres sensations, ineffables... La musique d'une langue qui chante à l'oreille, Le parfum d'une fleur, Le goût de la salive qui emplit la bouche, La caresse de la brise ou de l'eau sur la peau Le délicat

je m'souviens plus très bien, de quelle couleur étaient ses yeux, peut-être qu'ils étaient bleus ..."

corne muse.

Ecouter les sons des mots et la vérité apparaît, toute nue, et chante à nos oreilles... Le rythme, les silences qui ponctuent les phrases, les propos retenus, les sens revisités, le flot qui s'écoule et remet chaque sujet en présence de ses émotions les

Aile ne voit qu'île...

ont-ils un sens commun ?

J'aime bien tous ces mots qui riment en esse et qui sont, pour moi, comme des caresses. Ne sommes nous pas maillons de mêmes chaînes qui ont toutes en commun d'avoir croisé les deux S du pluriel SEXES... Pas de quoi vraiment se faire un film X, non plus

Mais qu'est-ce ? Tiroir caisse ...

à vos papiers ! C'est bientôt le printemps ... Et vous, qui n'avez plus l'âge de concourir, transmettez vos goûts pour les libertés de styles à vos enfants ou petits-enfants ! C'est Carole qui nous le rappelle : il est bon de pouvoir faire encore

En l'âge d'or, les mortels vivaient sans haine et sans guerres...Toujours jeunes, dans l'amour et le respect de la terre. Les hommes semaient, les femmes enfantaient. Dans le partage et dans la joie, ils s'aimaient ... Ils vivaient et mouraient en

de donner est morte à force de donner ; ma vertu s'est lassée d'elle-même dans sa surabondance."

tous ceux qui ressemblent à des gouttes lourdes, tombant une à une des nuages sombres suspendus au dessus des hommes : ils annoncent que l'éclair est proche, ils périssent d'être les annonciateurs ."

laisser des traces de son passage, non des preuves, seules les traces font rêver..." Michèle GAZIER En éditorial d'un numéro hors série, consacré au poète René CHAR, résistant.

aveuglante, jusqu'à l'incandescence ... qui mêle l'indécence de nos sens à l'inneffable innocence de l'enfance.

PICABIA

Il te traverse, il te tue à tout petit feu... Tu hais ce temps qui te tues en silence.

Spleen et idéal, IV Charles BAUDELAIRE Pour inaugurer l'année du Dragon...

CHANSON DU GEÔLIER

LA MORT ET LE BÛCHERON Je ne délivre que la conclusion... Ayant du bois à aller chercher dans le bûcher pour préparer une flambée...

Dans les fêtes galantes ...

La terre va chercher l'eau et les autres éléments : métal, bois etc... Et ce sera le grand sacre du printemps, chez les Dragons de feu !...

ROUGES . Conte de la Lune

Au coeur de nos inconscients, ils nous révèlent à nous-mêmes, détiennent les ressorts intimes de nos actions, ouvrent notre esprit sur l'inconnu et l'infini... Un mot, une image, contient un message qui, le plus souvent, nous échappe sauf si nous