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La peau contient des millions de cellules qui conservent en mémoire les points de contacts avec notre environnement...dès avant notre naissance... D'où la nécessité, pour se sentir "bien dans sa peau" de multiplier les occasions de

Le masseur est aveugle et pourtant il voit, avec la pulpe de ses doigts. Chacune des cellules de notre épiderme possède cette rare faculté de "sentir" le moindre contact et de lui donner forme : le souffle du vent, la pression d'un

Ah ! L'odeur du métro ... Allez savoir pourquoi, elle évoque pour moi, qui fus élevé à la campagne, le parfum de... la liberté ! Ah ! L'arôme d'une rose et celui de la terre humide , en contrepoint! Subtiles exhalaisons qui font jaillir

Je laisse en préambule, la parole à Antoine de SAINT EXUPéRY : "Le goût du pain partagé est sans égal." De l'odeur du bon pain à peine sorti du four à la saveur de sa croûte craquant sous mes dents, il y a l'espace de quelques

ODOR*, ODORIFèRE, ODORANT(E), ODORITé, ODORISEUR, ODORISATEUR(TRICE), ODORISATION, ODORIMéTRIE, ODORIGèNE, ODORIFéRANT (ANTE), ODORER, ODORATION, ODORATIF (VE). Vous qui avez du flair, du pif, du tarin, de l'intelligence en somme :

Pour être parfaitement objectifs, soyons extrêmement subjectifs ! Car, s'il s'agit bien d'évoquer ici ces domaines (é)mouvants, chacun(e) a son "idée" personnelle, en fonction de ses expériences de vie. "Odor di femina" cette citation de

"Je sens comme une odeur de panthère. Comme si je passais dans les Monts de Tunis." Victor HUGO (La légende des siècles) J'ai "comme" le sentiment que cet homme sensuel met clairement en évidence dans ces quelques lignes le

" Charmé par les oiseaux, et par l'amour trompé, Dans de noirs corridors, sous de sombres portiques, L'amant recherchera la marque de l'épée, Qu'Isis au coeur de feu dans son coeur a trempée... Ô lame au fil parfait, soeur des fleuves

" L'invisible banquier qui prend notre pécune A ce tripot du monde est un pipeur de dés Cependant que, pensifs, sur la table accoudés Obstinés à boucher sans cesse une lacune, Nous cherchons une marche et n'en trouvons aucune, Malgré nos

Préparation de la page blanche...

Vendredi, jour de marché ! En projet, préparer l'osso bucco bimestriel... Je sais déjà où trouver les rouelles de veau, les carottes, le céleri - je suis un vieux mari, j'en aime les effets ! - le persil. Les oignons, je m'en suis occupé - et même de ceux

A suivre... dimanche ! Et en prime, Tim et les ôtres ... cette parole de J-H LARTIGUE : "Je ne suis pas photographe, écrivain, peintre. Je suis empailleur * des choses que la vie m'offre, en passant." Parole que je fais mienne... * orpailleurs,

Demain, c'est le repos hedomadaire pour tous les forcenés du boulot... "Le travail, c'est la santé..." vous connaissez les suites. Le sens de l'Histoire, à défaut du bon sens, nous incite à nous réjouir ou à nous résigner... Demain, puisque je n'en

En ce dimanche, date anniversaire* de la disparition de ce grand artiste qui écrivait dans son journal : "Maintenant, je sais faire..." Il avait sept ans et il lui avait été offert son premier appareil photo. Une grande passion venait de naître, pour

Claude CHABROL, un de plus, de ces grands bien vivants, qui nous quitte ! Il y a quelques jours à peine, il nous avait posé un lapin, à CAVAILLON. Seules étaient là sa compagne Stéphane AUDRAN, l'une de ses comédiennes fétiches Bernadette LAFONT. On le

Une histoire qu'aurait bien aimée Claude CHABROL ...attablé avec les siens devant une table bien garnie . Car en fait de photos et de photographes, il en connaissait un rayon. Et comme il avait parfois le propos caustique...

que circule notre énergie ...

Seulement 1935 visiteu(r-se)s à ce jour... Et je ne compte pas ceux qui décomptent, à rebours, le temps qui les sépare du XII / XII / MMXII . Puisqu'à cette date fatidique, inscrite au calendrier de mon amie MAYA - l'Abeille* polie, qui fait

Une amie m'écrivait récemment : " Toi, l'ami qui me connais bien, sache que je ne change pas : je demeure, comme tu le sais, fidèle à moi-même...à jamais infidèle à l'image que les autres se font de moi, même si je reste toujours fidèle... à mes

Encore un Claude qui continue à nous faire son cinéma...* Films 13 contre vents et marées, écrit une fois encore l'Histoire des amours de LELOUCH, qui en remet une louche. Depuis "Un homme, une femme"...toujours la même petite musique ! Chabada,

Carpe Diem ...

TARASCOUN pèr li garçoun..."

recopier mes écrits de naguère... Peut-on vraiment être original ? Parfois, j'aimerais être un orignal en forêt ... Ou un bar dans les laminaires de la cale de Pen March ;-) Ou...

Le rire est contagieux ! Un homme averti en valant deux, Mesdames vous serez bien servies... Messieurs faites les rire, elle vous le rendront au Sentime...être prêts. Quelques indications, tirées d'un magazine qui vous donne toutes les CLéS...

L'ÎLE - HARENG ... ...Auguste DERRIERE, mineur de riens sur la toile, est le ci-devant auquel j'ai emprunté ce matin même quelques citations hasardeuses : Exemple sussuré à un correspondant privilégié : "Les RIEURS avec moi, les PAS RIEURS au TIERCé !"

C'est dimanche, une occasion rêvée, pour retrouver ce grand poète : R E N é CH A R

Puisque nous y sommes, demeurons en POéSIE avec René - le bien prénommé, puisqu'il revit à travers les poèmes qu'il nous a transmis - C H A R... que je n'ai pas envie d'arrêter, en vous proposant ces quelques morceaux choisis dans ses Feuillets d'Hypnos

En voilà un qui, pour nous, a bien du sens. Vous connaissez la plaisanterie classique ? "ALZHEIMER tu connais ? - Certes... - Et son prénom, tu t'en souviens ? - ... - C'est comme ça, que ça commence !... Au quotidien, pour nous, ce n'est pas

Si ce n'est pour dire à chacune et à chacun de celles et ceux qui sont simplement passés sur ma page de la nuit précédente, ou qui nous ont adressé leur témoignage de sympathie :

Le vent nous est venu, empruntant la Vallée du Rhône...

vivons séparés, ne serait-ce que pour le bonheur de savoir que l'on va se retrouver !