je n'ai pas du tout aimé le procédé... un manque évident de respect et d'élégance, et une information trop succincte sur le sujet... dommage de la part du Team
Il aurait été tellement plus respectueux de la liberté de chacun de mettre en place par défaut l'autre option et d'informer plus clairement les ipernautes sur le choix qu'ils pouvaient faire d'activer ces nouvelles options.
Grossière maladresse ou "marché du siècle" ?? l'avenir de ce site s'assombrit !!!
J'opterai pour l'option "marché du siècle" . ne pas oublier qu' IPER est coté et que si nous ne sommes pas "actionnaires", nous n'avons qu'à fermer notre "gueugueule"...
Et marcher au pas de LOI ,ou bien ...
Révérence !
Mais maintenant que l'addiction est là ...
Actionnaires!!!
Je j'ai pas vu la couleur de l'addition sans C,
Je ne suis pas employé par ceux ci,
J'ai vu na guère les majors,la télé etc ..
réseaux sociaux une nouvelle forme de capital isme?
J'ai pris et paye une page ici,
S'il le faut ,je rafraichirais la mémoire de ces messieurs dames,
Une petite mise à jour dans une cour de justice est toujours possible,
La finance n'a pas tous les droits,
et je n'appartiens à personne,groupes ou autre...
Je ne gère pas le site non plus..
Bon Sa Ma pris 2 secondes,pour enlever l'Option,
Donc je reste Zen
J'ai laissé les "choses" en l'état.
Mais ne me suis pas privé d'écrire à l'équipe (et pourquoi "team" ?) ce que j'avais sur le coeur...
Je sais que, dans la proximité, une autre type de société est sur le point d'émerger (ce mot ici a tout son sens !)
Révérence à toutes celles et tous ceux qui "RéSISTENT" à la domination outrancière de la FINANCE.
UBU est de retour, Cornegidouille !...
Nous pouvons le demeurer "hors option" dominante, mais c'est sans doute plus difficile en VILLE!...Heureusement, j'ai un jardin, des ami(e)s musicien(ne)s et/ou poètes et je nage en eau libre...
"c'est avoir conscience que nos pas sont systématiquement pistés."
il suffit de le savoir...
les pisteurs peuvent être eux aussi pistés ,
il y a tellement de choses mystérieuses .....
Alors..
pour moi, c'est une petite trahison !
cet espace était un espace poétique et cette évolution m'attriste !
permettez moi de mettre cette citation de Hannah Arendt tirée de "La crise de la culture" qui a fait aussitôt écho en moi alors :
"Plus la société intercale entre le public et le privé une sphère sociale où le privé est rendu public et vice versa, plus elle rend les choses difficiles à ses enfants qui, par nature, ont besoin d'un abri pour grandir sans être dérangés"
oui ! nous ne sommes pas des enfants !
oui ! nous savons que nous sommes sur un espace public !
oui ! mais !
on peut aussi rester dans des proportions modestes et garder l'Humain au centre du dispositif et non la Loi du marché ....
trop trop triste ... /_\ ...
Pat ernité + pas d'uti
lisation commer
ciale + part
age à l'id
entique ???retou
cher avec Pic mon nossera gar servicekey,???impri
mer,???sera gar
derda ns nos das
ervice,ns nos
n ous al lons voir....
e spacepub lic?
cela veut qu"on peut mo nterd ansma v oitu reets'e na llerav ec sa nslav oler,
c'est bizarre,
Do m mage c'est àdist anc to ut ça,pasàp ortée dema ins,
Le web,c"est co mbiende pa ys,avecta nt delé gis la tio nsdiff érent es,ingé rab le..
Ce pathétique s'enferme tout seul.
Beaucoup de très jeunes gens n'ont pas peur,que ce soit du web,d'être écouté sur téléphone etc
Leur naïveté,leur courage est admirable,à l'instar de la nature.
tan pis pour ceux qui passent leur vie autrement ,
Qu'est ce qu'ils contrôlent ? rien ..
Comme les enfants moi aussi, j'm'en moque!
sacré variations de températures,non,
c'est fragile l'informatique,les relais etc..
la nature est magnifique
"NOTRE" NATURE est magnifique ...Tôt ou tard elle saura LE manifester. ET heureusement certains de nous aurons gardé en eux suffisamment d'énergie pour pouvoir eux aussi SE manifester autrement et de façon soutenable, car équitable ...
Qui est Christian ? Quelqu' Hun du TIM ?
Il a donc pris la peine de te répondre, c'est donc tout à son honneur.
Je n'ai eu que partielle explication sur la page du "TEAM" et je NE VEUX PAS dénoncer qui que ce soit qui se serait permis de censurer mon "Livre d'or" futur nom du GUEST BOOK ;-)) semble t'il, en juillet !
Belle journée Bernard !
Matinée de pluie sur les papes ...
Oui,tout cela est dérisoire,
personnellement, je reste Zen
Namaste
Où irez-vous si Fukushima explose ?
Tandis que le club des journalistes parisiens nous bombarde de gros titres sur le dernier tweet de Valérie Trierweiler (passionnant !), les mésaventures de Ségolène (navrant !), le départ de Laurence Ferrari (émouvant !) ou encore les déclarations des (ir)responsables européens sur la crise des dettes publiques, la situation à Fukushima tourne à la catastrophe sans que cela ne mérite une ligne dans nos journaux ni même quelques secondes d'antenne.
Et pourtant, si l'objectif des journalistes officiels est de « vendre du papier » ou « faire de l'audience », puisque beaucoup d'entre eux ne s'en cachent même plus, parler de ce qui se passe réellement à Fukushima leur permettrait d'exciter les foules, à juste titre pour une fois.
Mais pour l'instant, c'est le silence... de mort.
Une question de survie de l'espèce humaine
Lorsque la centrale nucléaire de Fukushima fut ravagée par le tremblement de terre puis le tsunami en mars 2011, les autorités japonaises et les agences spécialisées dans le nucléaire ont eu une seule priorité : minimiser de façon obscène l'impact sanitaire de la catastrophe, pour empêcher tout mouvement de panique.
L'explosion d'une centrale nucléaire libère pourtant dans l'atmosphère une grande quantité de radionucléides radioactifs. Il en va de même des retombées radioactives après l'explosion d'une bombe atomique ou d'une « bombe sale ». L'un des composés radioactifs les plus communs est alors l'iode 131 (131I). Et c'est ce qui s'est passé à Fukushima (plus à ce sujet ci-dessous).
Par chance, il existe un moyen rapide, très efficace, très bon marché, et sans effets indésirables graves, d'immuniser votre organisme contre l'iode 131, ce qui n'est pas le cas des autres composés radioactifs (césium par exemple).
Il vous suffit de prendre, dans les deux heures qui suivent l'accident nucléaire, un comprimé d'iode, ou de vous badigeonner 2 mL de teinture d'iode sur la peau (1 mL pour les enfants). Si vous n'avez pas d'iode dans votre armoire à pharmacie, vous pouvez utiliser de la bétadine, en doublant la dose. L'application est à renouveler trois jours plus tard. De cette façon, vous saturez votre corps d'iode non radioactif et vous diminuez de 97 % votre absorption d'iode radioactif, et ce sans effets indésirables graves.
En effet, votre glande thyroïde est programmée pour emmagasiner et concentrer rapidement l'iode qui passe à sa portée. Si c'est de l'iode radioactif, votre thyroïde l'absorbera et vous serez exposé à des rayonnements internes, qui augmenteront votre risque de cancer de la thyroïde et de nodules bénins. Les enfants et les bébés sont encore plus vulnérables que les adultes.
Mais si votre thyroïde est déjà saturée d'iode non radioactif, alors votre corps n'en absorbera plus. Et vous pouvez obtenir ce résultat en vous badigeonnant de la teinture d'iode sur votre peau.
Cela ne coûte quasiment rien. Mais encore faut-il en avoir dans son armoire à pharmacie.
Attention, il existe des dangers à utiliser de la teinture d’iode, qui n’est pas un produit anodin. Il convient, avant de l’utiliser, de demander l’avis d’un médecin ou d’un pharmacien. Il ne faut pas l’associer à des antiseptiques à base de mercure. Les femmes enceintes et les bébés de moins d'un moins ne doivent pas l'utiliser sans avis médical. De même, toute personne qui présente une certaine sensibilité à l'iode, qui est atteinte d'une maladie thyroïdienne et qui souffre de troubles cardiaques ne devrait pas s'appliquer de teinture d'iode.
Il est vital d'agir rapidement
La rapidité d'administration de l'iode après une exposition à de l'iode radioactif est un facteur décisif d'efficacité. L'effet protecteur est de 97 % lorsque la teinture est administrée au moment de l'exposition, mais passe à 85 % une heure après, et à 50 % entre 3 et 4 heures après l'exposition. Après 6 heures, vous êtes « out ».
Pour ces raisons, il semble raisonnable de vous préoccuper aujourd'hui de mettre dans votre armoire à pharmacie une bouteille de teinture d'iode. Il ne vous en coûtera que quelques euros.
La bombe à retardement n'est pas du tout désamorcée
Contrairement à ce qu'ont reconnu les autorités au moment de l'accident, des dizaines de milliers de personnes au Japon et dans le Pacifique ont été affectées par les émissions de césium 137 radioactif suite au tsunami de mars 2011. Des déchets de la centrale de Fukushima ont été retrouvés jusque sur les côtes de la Californie. Alors qu'on craignait que l'accident fût pire que celui de Tchernobyl dans les jours qui suivirent, personne n'imaginait à quel point ce serait pire en effet.
Si les estimations actuelles sont exactes, Fukushima a déjà relâché autant de radiations dans l'atmosphère que Tchernobyl. La différence est que la société TEPCO et le gouvernement japonais n'ont pas voulu construire de sarcophage en béton autour de la centrale, comme ce fut fait par les soviétiques, à un coût humain il est vrai gigantesque.
Aujourd'hui, on se retrouve donc avec des installations nucléaires à nu, et le risque d'un désastre encore dix fois plus grand si un nouveau tremblement de terre devait se produire. Ce scénario est malheureusement probable dans cette région à forte activité sismique.
Nous sommes donc aujourd'hui à la merci de la nature. Le gouvernement japonais le sait, et prépare actuellement des plans pour l'évacuation totale de l'agglomération de Tokyo, un exode aux conséquences humanitaires apocalyptiques qui concernerait 40 millions de personnes ! En fait, d'immenses territoires aujourd'hui densément peuplés dans l'hémisphère nord deviendraient inhabitables, pour des siècles voire des millénaires.
Nier les faits ne sert à rien
Il n'existe aucun moyen de nier cette réalité. Prétendre que la menace n'existe pas ne peut ni écarter le danger, ni vous protéger vous et votre famille. Le seul effet sera de vous laisser démuni le jour où le désastre se produira.
Il faut que vous ayez en tête les faits suivants :
La centrale de Fukushima-Dai-Ichi contenait six réacteurs nucléaires. Le tsunami du 11 mars 2011 provoqua l'inondation des générateurs produisant l'électricité du système de refroidissement, ce qui entraîna, dans les jours qui suivirent, la fusion de trois réacteurs sur les six (« full melt down »).
Chacun d'entre eux va alors connaître des explosions d'hydrogène, qui détruiront leur toit et leur partie supérieure.
À partir de ce stade, des rejets massifs vont se produire dans l'atmosphère et l'environnement. Le gouvernement japonais prend alors une décision dramatique : demander que de l'eau de mer soit utilisée pour refroidir les réacteurs, ce qui acheva de les détruire complètement, et à relâcher des millions de litres d'eau contaminée dans le Pacifique.
La catastrophe fut donc classée au niveau 7 (le plus élevé) de l'échelle internationale des événements nucléaires.
Le cauchemar des piscines
Mais la pire menace actuellement concerne les « piscines ».
Il faut savoir que, dans une centrale nucléaire de type Fukushima, les barres de combustible usé sont stockées dans des piscines remplies d'eau. Ce combustible émet des rayonnements qui sont extrêmement dangereux pour l’homme et dégage une énorme chaleur. Dans les conditions normales, l’eau permet de bloquer les rayons, et de refroidir les barres de combustible usé. Des machines permettent en outre d'examiner les barres, de les déplacer, etc.
Le problème est que, suite à l'accident, le système de refroidissement a cessé de fonctionner, ce qui a d'abord produit l'évaporation de l'eau puis un incendie dans la piscine du réacteur n°4, produisant de nouvelles émissions de vapeurs radioactives. Les installations pour déplacer les barres ont été détruites. Aujourd'hui, plus aucun être humain ne peut s'approcher de ces piscines.
Une catastrophe imminente ?
Aujourd'hui, mardi 19 juin 2012, la radioactivité a tellement monté dans la piscine n°2 qu'il n'est plus possible de la mesurer. (Oui, vous avez bien lu : la radioactivité est trop forte pour être mesurée). L'eau étant en train de s'évaporer, la chaleur et les radiations pourraient augmenter fortement et déclencher de nouveaux incendies.
La piscine n°4 est à 30 mètres au-dessus du sol et elle est exposée à l'air libre. La structure qui l'entourait et qui la soutenait est fortement endommagée. Si un nouveau tremblement de terre se produisait et qu'elle s'effondrait ou se mettait à fuir, un incendie radiologique catastrophique se produirait qui pourrait provoquer des émissions de Césium dix fois supérieures à Tchernobyl.
Il est de plus impossible de retirer ces barres radioactives car le système prévu a lui aussi été détruit lors du tsunami. Les retirer avec une grue provoquerait des émissions de radiations destructrices, des incendies et potentiellement aussi des explosions, qui ne peuvent être évités qu'en les maintenant en permanence dans l'eau, dans des structures renforcées (ce qui n'a encore jamais été pratiqué nulle part, ajoutant une forte dose d'imprévisibilité à l'opération).
Certains scientifiques pensent même que l'effondrement des piscines serait si grave que l'ensemble du Japon devrait être évacué. Cela représenterait 125 millions de réfugiés, ce qui causerait un désastre humanitaire sans précédent.
Une des plus grandes accumulations de radioactivité de la planète
Avant que vous ne balayiez de la main ces informations en les attribuant à quelque réseau antinucléaire extrémiste, voici ce qu'a déclaré Robert Alvarez, haut conseiller à l'environnement et à la sécurité nationale au ministère de l'énergie des Etats-Unis (Senior Policy Adviser to the Secretary for Na
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je n'ai pas du tout aimé le procédé... un manque évident de respect et d'élégance, et une information trop succincte sur le sujet... dommage de la part du Team
Il aurait été tellement plus respectueux de la liberté de chacun de mettre en place par défaut l'autre option et d'informer plus clairement les ipernautes sur le choix qu'ils pouvaient faire d'activer ces nouvelles options.
Grossière maladresse ou "marché du siècle" ?? l'avenir de ce site s'assombrit !!!
Et marcher au pas de LOI ,ou bien ...
Révérence !
Mais maintenant que l'addiction est là ...
Bernard club has replied to j-p l'@rchéoLe vert des rivières club has replied to j-p l'@rchéoJe j'ai pas vu la couleur de l'addition sans C,
Je ne suis pas employé par ceux ci,
J'ai vu na guère les majors,la télé etc ..
réseaux sociaux une nouvelle forme de capital isme?
J'ai pris et paye une page ici,
S'il le faut ,je rafraichirais la mémoire de ces messieurs dames,
Une petite mise à jour dans une cour de justice est toujours possible,
La finance n'a pas tous les droits,
et je n'appartiens à personne,groupes ou autre...
Je ne gère pas le site non plus..
Bon Sa Ma pris 2 secondes,pour enlever l'Option,
Donc je reste Zen
Namaste
j-p l'@rchéo has replied to Bernard clubMais ne me suis pas privé d'écrire à l'équipe (et pourquoi "team" ?) ce que j'avais sur le coeur...
Je sais que, dans la proximité, une autre type de société est sur le point d'émerger (ce mot ici a tout son sens !)
Révérence à toutes celles et tous ceux qui "RéSISTENT" à la domination outrancière de la FINANCE.
UBU est de retour, Cornegidouille !...
"Par ma chandelle VERTE !..."
A méditer, je demeure ZEN .
Namaste
il suffit de le savoir...
les pisteurs peuvent être eux aussi pistés ,
il y a tellement de choses mystérieuses .....
Alors..
cet espace était un espace poétique et cette évolution m'attriste !
permettez moi de mettre cette citation de Hannah Arendt tirée de "La crise de la culture" qui a fait aussitôt écho en moi alors :
"Plus la société intercale entre le public et le privé une sphère sociale où le privé est rendu public et vice versa, plus elle rend les choses difficiles à ses enfants qui, par nature, ont besoin d'un abri pour grandir sans être dérangés"
oui ! nous ne sommes pas des enfants !
oui ! nous savons que nous sommes sur un espace public !
oui ! mais !
on peut aussi rester dans des proportions modestes et garder l'Humain au centre du dispositif et non la Loi du marché ....
trop trop triste ... /_\ ...
lisation commer
ciale + part
age à l'id
entique ???retou
cher avec Pic mon nossera gar servicekey,???impri
mer,???sera gar
derda ns nos das
ervice,ns nos
n ous al lons voir....
e spacepub lic?
cela veut qu"on peut mo nterd ansma v oitu reets'e na llerav ec sa nslav oler,
c'est bizarre,
Do m mage c'est àdist anc to ut ça,pasàp ortée dema ins,
Le web,c"est co mbiende pa ys,avecta nt delé gis la tio nsdiff érent es,ingé rab le..
Ce pathétique s'enferme tout seul.
Beaucoup de très jeunes gens n'ont pas peur,que ce soit du web,d'être écouté sur téléphone etc
Leur naïveté,leur courage est admirable,à l'instar de la nature.
tan pis pour ceux qui passent leur vie autrement ,
Qu'est ce qu'ils contrôlent ? rien ..
Comme les enfants moi aussi, j'm'en moque!
sacré variations de températures,non,
c'est fragile l'informatique,les relais etc..
la nature est magnifique
Namastes
Namastes ...
Partager ou pas importe peu .........
"Merci, Christian
Dont acte, je fais amende honorable...
Je n'avais jamais lu ou réalisé que ces "anciens" boutons de bas de page étaient actifs pour tout visiteur, même non inscrit sur Ipernity.
D'où 'importance de soigner qualité de l'information et de la communication pour ne pas donner à quelque chose de positif une image négative.
Encore merci de tes explications !"
Il a donc pris la peine de te répondre, c'est donc tout à son honneur.
Je n'ai eu que partielle explication sur la page du "TEAM" et je NE VEUX PAS dénoncer qui que ce soit qui se serait permis de censurer mon "Livre d'or" futur nom du GUEST BOOK ;-)) semble t'il, en juillet !
Belle journée Bernard !
Matinée de pluie sur les papes ...
Bernard club has replied to j-p l'@rchéocomme quoi, à mal communiquer ou à mal informer on peut transformer un mieux en pire !!!
belle soirée, j-p,
2 jours isérois m'attendent...
personnellement, je reste Zen
Namaste
Où irez-vous si Fukushima explose ?
Tandis que le club des journalistes parisiens nous bombarde de gros titres sur le dernier tweet de Valérie Trierweiler (passionnant !), les mésaventures de Ségolène (navrant !), le départ de Laurence Ferrari (émouvant !) ou encore les déclarations des (ir)responsables européens sur la crise des dettes publiques, la situation à Fukushima tourne à la catastrophe sans que cela ne mérite une ligne dans nos journaux ni même quelques secondes d'antenne.
Et pourtant, si l'objectif des journalistes officiels est de « vendre du papier » ou « faire de l'audience », puisque beaucoup d'entre eux ne s'en cachent même plus, parler de ce qui se passe réellement à Fukushima leur permettrait d'exciter les foules, à juste titre pour une fois.
Mais pour l'instant, c'est le silence... de mort.
Une question de survie de l'espèce humaine
Lorsque la centrale nucléaire de Fukushima fut ravagée par le tremblement de terre puis le tsunami en mars 2011, les autorités japonaises et les agences spécialisées dans le nucléaire ont eu une seule priorité : minimiser de façon obscène l'impact sanitaire de la catastrophe, pour empêcher tout mouvement de panique.
L'explosion d'une centrale nucléaire libère pourtant dans l'atmosphère une grande quantité de radionucléides radioactifs. Il en va de même des retombées radioactives après l'explosion d'une bombe atomique ou d'une « bombe sale ». L'un des composés radioactifs les plus communs est alors l'iode 131 (131I). Et c'est ce qui s'est passé à Fukushima (plus à ce sujet ci-dessous).
Par chance, il existe un moyen rapide, très efficace, très bon marché, et sans effets indésirables graves, d'immuniser votre organisme contre l'iode 131, ce qui n'est pas le cas des autres composés radioactifs (césium par exemple).
Il vous suffit de prendre, dans les deux heures qui suivent l'accident nucléaire, un comprimé d'iode, ou de vous badigeonner 2 mL de teinture d'iode sur la peau (1 mL pour les enfants). Si vous n'avez pas d'iode dans votre armoire à pharmacie, vous pouvez utiliser de la bétadine, en doublant la dose. L'application est à renouveler trois jours plus tard. De cette façon, vous saturez votre corps d'iode non radioactif et vous diminuez de 97 % votre absorption d'iode radioactif, et ce sans effets indésirables graves.
En effet, votre glande thyroïde est programmée pour emmagasiner et concentrer rapidement l'iode qui passe à sa portée. Si c'est de l'iode radioactif, votre thyroïde l'absorbera et vous serez exposé à des rayonnements internes, qui augmenteront votre risque de cancer de la thyroïde et de nodules bénins. Les enfants et les bébés sont encore plus vulnérables que les adultes.
Mais si votre thyroïde est déjà saturée d'iode non radioactif, alors votre corps n'en absorbera plus. Et vous pouvez obtenir ce résultat en vous badigeonnant de la teinture d'iode sur votre peau.
Cela ne coûte quasiment rien. Mais encore faut-il en avoir dans son armoire à pharmacie.
Attention, il existe des dangers à utiliser de la teinture d’iode, qui n’est pas un produit anodin. Il convient, avant de l’utiliser, de demander l’avis d’un médecin ou d’un pharmacien. Il ne faut pas l’associer à des antiseptiques à base de mercure. Les femmes enceintes et les bébés de moins d'un moins ne doivent pas l'utiliser sans avis médical. De même, toute personne qui présente une certaine sensibilité à l'iode, qui est atteinte d'une maladie thyroïdienne et qui souffre de troubles cardiaques ne devrait pas s'appliquer de teinture d'iode.
Il est vital d'agir rapidement
La rapidité d'administration de l'iode après une exposition à de l'iode radioactif est un facteur décisif d'efficacité. L'effet protecteur est de 97 % lorsque la teinture est administrée au moment de l'exposition, mais passe à 85 % une heure après, et à 50 % entre 3 et 4 heures après l'exposition. Après 6 heures, vous êtes « out ».
Pour ces raisons, il semble raisonnable de vous préoccuper aujourd'hui de mettre dans votre armoire à pharmacie une bouteille de teinture d'iode. Il ne vous en coûtera que quelques euros.
La bombe à retardement n'est pas du tout désamorcée
Contrairement à ce qu'ont reconnu les autorités au moment de l'accident, des dizaines de milliers de personnes au Japon et dans le Pacifique ont été affectées par les émissions de césium 137 radioactif suite au tsunami de mars 2011. Des déchets de la centrale de Fukushima ont été retrouvés jusque sur les côtes de la Californie. Alors qu'on craignait que l'accident fût pire que celui de Tchernobyl dans les jours qui suivirent, personne n'imaginait à quel point ce serait pire en effet.
Si les estimations actuelles sont exactes, Fukushima a déjà relâché autant de radiations dans l'atmosphère que Tchernobyl. La différence est que la société TEPCO et le gouvernement japonais n'ont pas voulu construire de sarcophage en béton autour de la centrale, comme ce fut fait par les soviétiques, à un coût humain il est vrai gigantesque.
Aujourd'hui, on se retrouve donc avec des installations nucléaires à nu, et le risque d'un désastre encore dix fois plus grand si un nouveau tremblement de terre devait se produire. Ce scénario est malheureusement probable dans cette région à forte activité sismique.
Nous sommes donc aujourd'hui à la merci de la nature. Le gouvernement japonais le sait, et prépare actuellement des plans pour l'évacuation totale de l'agglomération de Tokyo, un exode aux conséquences humanitaires apocalyptiques qui concernerait 40 millions de personnes ! En fait, d'immenses territoires aujourd'hui densément peuplés dans l'hémisphère nord deviendraient inhabitables, pour des siècles voire des millénaires.
Nier les faits ne sert à rien
Il n'existe aucun moyen de nier cette réalité. Prétendre que la menace n'existe pas ne peut ni écarter le danger, ni vous protéger vous et votre famille. Le seul effet sera de vous laisser démuni le jour où le désastre se produira.
Il faut que vous ayez en tête les faits suivants :
La centrale de Fukushima-Dai-Ichi contenait six réacteurs nucléaires. Le tsunami du 11 mars 2011 provoqua l'inondation des générateurs produisant l'électricité du système de refroidissement, ce qui entraîna, dans les jours qui suivirent, la fusion de trois réacteurs sur les six (« full melt down »).
Chacun d'entre eux va alors connaître des explosions d'hydrogène, qui détruiront leur toit et leur partie supérieure.
À partir de ce stade, des rejets massifs vont se produire dans l'atmosphère et l'environnement. Le gouvernement japonais prend alors une décision dramatique : demander que de l'eau de mer soit utilisée pour refroidir les réacteurs, ce qui acheva de les détruire complètement, et à relâcher des millions de litres d'eau contaminée dans le Pacifique.
La catastrophe fut donc classée au niveau 7 (le plus élevé) de l'échelle internationale des événements nucléaires.
Le cauchemar des piscines
Mais la pire menace actuellement concerne les « piscines ».
Il faut savoir que, dans une centrale nucléaire de type Fukushima, les barres de combustible usé sont stockées dans des piscines remplies d'eau. Ce combustible émet des rayonnements qui sont extrêmement dangereux pour l’homme et dégage une énorme chaleur. Dans les conditions normales, l’eau permet de bloquer les rayons, et de refroidir les barres de combustible usé. Des machines permettent en outre d'examiner les barres, de les déplacer, etc.
Le problème est que, suite à l'accident, le système de refroidissement a cessé de fonctionner, ce qui a d'abord produit l'évaporation de l'eau puis un incendie dans la piscine du réacteur n°4, produisant de nouvelles émissions de vapeurs radioactives. Les installations pour déplacer les barres ont été détruites. Aujourd'hui, plus aucun être humain ne peut s'approcher de ces piscines.
Une catastrophe imminente ?
Aujourd'hui, mardi 19 juin 2012, la radioactivité a tellement monté dans la piscine n°2 qu'il n'est plus possible de la mesurer. (Oui, vous avez bien lu : la radioactivité est trop forte pour être mesurée). L'eau étant en train de s'évaporer, la chaleur et les radiations pourraient augmenter fortement et déclencher de nouveaux incendies.
La piscine n°4 est à 30 mètres au-dessus du sol et elle est exposée à l'air libre. La structure qui l'entourait et qui la soutenait est fortement endommagée. Si un nouveau tremblement de terre se produisait et qu'elle s'effondrait ou se mettait à fuir, un incendie radiologique catastrophique se produirait qui pourrait provoquer des émissions de Césium dix fois supérieures à Tchernobyl.
Il est de plus impossible de retirer ces barres radioactives car le système prévu a lui aussi été détruit lors du tsunami. Les retirer avec une grue provoquerait des émissions de radiations destructrices, des incendies et potentiellement aussi des explosions, qui ne peuvent être évités qu'en les maintenant en permanence dans l'eau, dans des structures renforcées (ce qui n'a encore jamais été pratiqué nulle part, ajoutant une forte dose d'imprévisibilité à l'opération).
Certains scientifiques pensent même que l'effondrement des piscines serait si grave que l'ensemble du Japon devrait être évacué. Cela représenterait 125 millions de réfugiés, ce qui causerait un désastre humanitaire sans précédent.
Une des plus grandes accumulations de radioactivité de la planète
Avant que vous ne balayiez de la main ces informations en les attribuant à quelque réseau antinucléaire extrémiste, voici ce qu'a déclaré Robert Alvarez, haut conseiller à l'environnement et à la sécurité nationale au ministère de l'énergie des Etats-Unis (Senior Policy Adviser to the Secretary for Na
Krisonteme club has replied to Le vert des rivières clubt'as rattrapé le silence de combien d'année?
j'arrive pas à en dire plus
Namaste
Nous, Citoyens Ecologiquement Responsables d'AVIGNON t'applaudissons
et t'invitons à t'exprimer sur nos pages...
contact@creavignon.com
www.creavignon.com
Namaste
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