C'est la nature de l'homme et on n' y peut rien si parfois les hommes se comportent négativement.
Être sensible ou ne pas l'être est quelque chose qui fait partie du moule dont est fait la personne. Parfois cet état de fait est source de toute une éducation qu'il a reçue, de l'environnement dont il faisait part ou encore de quelque chose qu'on peut bien ignorer et à laquelle on ne trouve pas de raison.




Parfois les gens ont un cœur de glace et n'agissent même pas devant des faits qui leur imposent de faire des frissons et le plus souvent même sans s'en rendre compte.
Quelque part, d'autres, c'est seulement sous l'ombre d'un sourire - jaune soit-il --qu'ils agissent intérieurement en faisant sentir aux autres un remou moral ou spirituel qui attire bien l'attention, sans bruit, sans le moindre geste, sinon par des joies intenses marquées par un état de fait physique entièrement excitant qui évoque de la pitié, de l'étonnement ou bien de la surprise.


Nos manières d'agir face aux états de faits que nous pourrions observer dépendraient donc des comportements individuels de chacun qui diffèrent l'un l'autre selon l'éducation qu'il a reçue, l'environnement qui l'influt et selon les circonstances temporelles ou autres.

Vous ne devez certainement pas être étonnés de voir les gens se comporter parfois durement en laissant faire passer froidement des états de faits qui méritent l'attention ou qui demandent un changement moral ou spirituel. Et vous devez vous estimer heureux que vous soyez sensible non seulement à des états de faits qui évoquent des pleurs ou des joies mais aussi à travers des mots qui, parfois, silencieusement poussent l'homme à l'être.