IMG 0240 Coeur de clématite ( macro)

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04 Jul 2013 37 19 1902
Sur le balcon

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IMG 1648a. Passiflora caerulea (blog)

08 Jul 2016 8 4 690
Passiflora caerulea ou passiflore bleue est une plante grimpante de la famille des Passifloraceae, originaire d'Amérique du Sud. C'est la passiflore ornementale la plus cultivée dans les pays tempérés. Il existe plusieurs variétés cultivées1 de Passiflora caerulea : Constance Eliot est résistante à des gelées de -15 °C, très florifère et très parfumée China Blue a une couronne bleu clair Clear sky est un cultivar tétraploïde Beaucoup d'espèces du genre Passiflora peuvent s'hybrider entre elles. Dès le début du XIXe siècle, le premier croisement réussi fut celui de Passiflora caerulea et de P. racemosa pour donner P. × violacea. De même Passiflora × belotti provient du croisement de P. alata et de P. caerulea. Description Feuille pentalobée, vrille et bouton floral La passiflore bleue est une plante grimpante, très vigoureuse, développant de longues tiges de 5-6 m, souples et anguleuses, s'accrochant à l'aide de vrilles. Deux grosses stipules réniformes2 d'environ 2 cm de long sont à la base du pétiole portant la feuille. Le limbe de 5-8 × 6-9 cm comporte généralement 5 lobes palmés, à marge entière. Coupe de fleur de Passiflora caerulea L'inflorescence est une cyme dont la fleur centrale avorte, une fleur latérale se développe en vrille et l'autre donne une véritable fleur. Cette fleur, d'environ 8 cm de diamètre, porte : 3 grosses bractées ovales, vertes pâle 5 sépales pétaloïdes avec un éperon sous apical vert 5 pétales blanchâtres une couronne de filaments tricolores disposés sur 2 niveaux. Les filaments sont colorés de bleu clair, blanc et pourpre foncé au centre. Suivent 1 ou 2 cycles de filaments courts avec nectaires à la base. au centre, une colonne, l'androgynophore, de 8-10 mm hauteur, portant l'androcée et le gynécée : 5 étamines vertes clair à anthères jaunes tournées vers le bas au-dessus de l'ovaire verdâtre se dressent 3 styles pourpres, unis à leur base et terminés par des stigmates réniformes. La floraison a lieu de mai-juin à septembre. Elle s'accompagne du dégagement d'un doux parfum rappelant le monoï. Le fruit est une baie jaune orangé, ovoïde ou subglobuleuse, d'environ 6 cm de long, contenant de nombreuses graines. Bien mûr, et bien que peu charnu et peu savoureux, il semble comestible en petites doses. Cru et encore vert, il contient de l'acide cyanhydrique3(0,0118-0,013 % de HCN). Légende Les missionnaires espagnols firent preuve d'imagination et s'en servirent pour enseigner l'histoire du Christ, en particulier de sa Passion : - Les vrilles symbolisent les fouets de la flagellation - les dix pétales et sépales représentent dix des douze apôtres - la centaine de filets disposés en cercle fait allusion à la couronne d'épines. - Les trois stigmates et les cinq anthères rappellent les trois clous et les cinq plaies. Pollinisation Passiflora caerulea avec styles dressés Abeille récoltant le nectar de Passiflora caerulea avec styles rabattus Passiflora caerulea ouverte vue de 3/4 Fleur de grenadille (Passiflora caerulea).jpg La fleur reste ouverte un ou deux jours. À l'ouverture de la fleur, les styles sont redressés dans la position qu'ils occupaient dans le bouton floral. Puis rapidement les styles4 se rabaissent jusqu'à ce que les stigmates jouxtent les anthères. En fin de floraison, ils se redressent dans leur position antérieure. Le pollen est libéré avant que les stigmates ne deviennent réceptifs (protandrie). Les grains de pollen sont gros, lourds et ne peuvent pas être emportés par le vent. C'est généralement des hyménoptères qui se chargent de la pollinisation. En France, l'abeille européenne et les bourdons sont les pollinisateurs les plus fréquents. Certains plants sont autofertiles mais d'autres comme la variété Constance Eliot, ne le sont pas. Le moment le plus propice à la pollinisation se trouve lorsque les stigmates sont au niveau des anthères. À ce moment, les insectes en allant récolter le nectar (ou le pollen) abondamment fourni par la fleur se frottent aux stigmates qui à cet instant secrètent un liquide visqueux capable de capter le pollen éventuellement transporté par l'insecte. Écologie Passiflora caerulea est originaire d'une zone couvrant le Brésil, l'Argentine, le Paraguay et l'Uruguay. Elle est cultivée comme ornementale dans les régions tempérées. Elle s'est naturalisée et est même devenue envahissante dans certaines régions du monde, comme en Espagne5, en Californie, Hawaï et Nouvelle-Zélande6. Composition On sait que les membres du genre Passiflora contiennent des alcaloïdes, phénols, glucosides de flavonoïdes et des composés cyanogènes7. Des alcaloïdes de type harmane n'ont pas été trouvés dans P. caerulea. Dans la fleur de Passiflora caerulea il a été isolé une flavone8, la chrysine, connue ou du moins vendue aux sportifs comme inhibiteur de l'aromatase (bien que des études in vivo n'aient montré aucune d'activité inhibitrice de l'aromatase9,10). La plante fraiche écrasée libère rapidement une quantité importante de cyanure (30-40 μmol/g). Il a été isolé des glucosides cyanogènes : la gynocardine, un mélange épimère de sulfate de tétraphylline B et de sulfate d'épitétraphylline B11. Le catabolisme normal des hétérosides cyanogènes conduit à la libération d'acide cyanhydrique qui est aussitôt converti en asparagine12.

MG 2155 Flambé ou voilier (crop) Blog

10 Jul 2017 16 8 768
Le nom commun de ce papillon fait bien sûr référence au graphisme de ses ailes, et donc aux "flammes" noires qui les ornent ... mais il y a flammes ... et flammes ! En d'autres termes le descripteur s'est-il inspiré des flammes qui s'élèvent d'un feu, et plus précisément d'une "flambée" ( d'où la logique de l'appellation ! ), ou s'agit-il des "flammes de marine", drapeaux triangulaires très étroits et très allongés ... d'où la non moins logique appellation de "Voilier". That is the question ! ... en espérant qu'elle ne vous empêchera pas de dormir ! Avec une envergure maxi atteignant près de 90 mm (femelles), le Flambé est assurément un de nos plus grands et plus beaux papillons "de jour". A l'instar de ses cousins "porte-queues" (machaon, alexanor, hospiton, feisthameli * ) il relève de la Famille des Papilionidae représentée en France par une dizaine espèces. C'est un papillon thermophile, aimant donc la chaleur, et à ce titre il est évidemment plus présent dans la moitié sud de la France, pour bien sûr se raréfier en remontant plus au nord ... et y finir aux "abonnés absents" ! Le Flambé est un hôte des milieux chauds, secs, voire plus ou moins rocheux ou pierreux. Il affectionne les friches clairsemées ou buissonnantes, les jardins à l'abandon, les zones cultivées retournées à l'état sauvage, etc ... La chenille se développe de préférence sur le prunellier, mais également sur l'aubépine, ainsi que sur divers fruitiers (pêchers, amandiers, pruniers, cerisiers). Selon les régions ce papillon a 1 ou 2 générations annuelles. L'accouplement ! Dans la nature il donne lieu à une parade très particulière ( le "hill-topping" des anglo-saxons ! ) où les Flambés d'un même secteur tendent à se regrouper sur le sommet d'une "hauteur" (allant du simple tertre à la colline), pour s'y livrer à des sortes de rondes pré-nuptiales effrénées ... avant de "conclure" comme Dame Nature l'a prévu ! Ce rituel et ses modalités semblent incontournables, confirmant en cela les observations d'auteurs tel Ekkehard Friedrich (*). J'ajouterais avoir moi-même testé, car dans ma volière où plusieurs couples vivaient tout à fait normalement, je n'ai pas observé la moindre velléité de "batifolage". En dernier recours il reste l'accouplement dit manuel, lequel demande un minimum de savoir faire et de pratique car la bonne mise en situation des parties génitales respectives est évidemment primordiale. Bien entendu ça ne marche pas à tous les coups, mais suffisamment pour .... valoir le coup ! La ponte ! En toute logique elle fait suite à l'accouplement, et les oeufs sont déposés par une ou deux unités au revers du feuillage des arbres et arbustes nourriciers précités. Comme toujours largement tributaire de la température, la durée de l'incubation est de l'ordre d'une à 2 semaines. Le nombre d'oeufs pondus étant difficile à chiffrer, l'estimation retenue pour le cousin Machaon (150 / 200) me paraît là aussi raisonnable, en l'attente d'un chiffrage vérifiable ... et vérifié !

MG 2170 Téléphore fauve ( Rhagonycha fulva) blog

10 Jul 2017 10 8 753
Un petit CliC pour agrandir Petit dragon des temps modernes

MG 2827a Passiflore (blog)

MG 2782 laurier Nerium oleaner (blog

Resized IMG 20190816 142326 6646

MG 2289 azuré Accouplement (blog)

MG 2842 Sauge +E6 tamisée (blog)

MG 2840 Sauge + E6 tamisée (blog)

MG 2265 Amaryllis (Pyronia tithonus) blog