Dédicaces et voeux à tous et hommages aux disparus
art digital fractales flammes collages
20 Jun 2015
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Bonne fête à tous les papas qui passent sur ma page
www.youtube.com/watch?v=7n1MxV8I7lM&list=RD7n1MxV8I7lM
14 Nov 2015
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L'horreur est de retour
En hommage à toutes ces victimes des attentats atroces et aveugles d'hier à Paris, à ceux qui souffrent dans leur chair et dans leur coeur....
www.youtube.com/watch?v=-OcmgU8iafE
Les morts aux visages rompus se redressent
La langue des humiliés se gonfle
Orageuse se lève la marée des victimes
Mais prenez garde porteurs de cicatrices !
Éteignez dans vos chairs les volcans de la haine
Piétinez l'aiguillon et crachez le venin
qui vous apparenteraient un jour aux bourreaux
Étouffez ces clairons ces sonneries
qui forcent la ressemblance
qui commandent le talion
Questionnez vos viscères
Percez vos propres masques
Soyez autres !
Andrée Chedid
21 Dec 2015
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Joyeux Noël 2015 mes amis
Et pour tous ceux qui sont seuls vraiment seuls mes bizoudoux......Parce que c'est encore plus dur en temps de fêtes.....Ne les oublions pas
www.youtube.com/watch?v=GlVrWsEUFGY&list=PLcAAo0tbZq4-iaZWmXJNl1ywgHhKmDBq9
Je l'ai trouvée devant ma porte,
Un soir, que je rentrais chez moi.
Partout, elle me fait escorte.
Elle est revenue, la voilà,
La renifleuse des amours mortes.
Elle m'a suivie, pas à pas.
La garce, que le Diable l'emporte !
Elle est revenue, elle est là
Avec sa gueule de carême
Avec ses larges yeux cernés,
Elle nous fait le coeur à la traîne,
Elle nous fait le coeur à pleurer,
Elle nous fait des matins blêmes
Et de longues nuits désolées.
La garce ! Elle nous ferait même
L'hiver au plein coeur de l'été.
Dans ta triste robe de moire
Avec tes cheveux mal peignés,
T'as la mine du désespoir,
Tu n'es pas belle à regarder.
Allez, va t-en porter ailleurs
Ta triste gueule de l'ennui.
Je n'ai pas le goût du malheur.
Va t-en voir ailleurs si j'y suis !
Je veux encore rouler des hanches,
Je veux me saouler de printemps,
Je veux m'en payer, des nuits blanches,
A coeur qui bat, à coeur battant.
Avant que sonne l'heure blême
Et jusqu'à mon souffle dernier,
Je veux encore dire "je t'aime"
Et vouloir mourir d'aimer.
Elle a dit : "Ouvre-moi ta porte.
Je t'avais suivie pas à pas.
Je sais que tes amours sont mortes.
Je suis revenue, me voilà.
Ils t'ont récité leurs poèmes,
Tes beaux messieurs, tes beaux enfants,
Tes faux Rimbaud, tes faux Verlaine.
Eh ! bien, c'est fini, maintenant."
Depuis, elle me fait des nuits blanches.
Elle s'est pendue à mon cou,
Elle s'est enroulée à mes hanches
Elle se couche à mes genoux.
Partout, elle me fait escorte
Et elle me suit, pas à pas.
Elle m'attend devant ma porte.
Elle est revenue, elle est là,
La solitude, la solitude...
Barbara
01 Jan 2016
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Mes meilleurs voeux à tous : une bonne année 2016
www.youtube.com/watch?v=HPcgM1MnDnI
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
But they're really saying I love you.
I hear baby's cry, and I watched them grow
They'll learn much more than I'll ever know
And I think to myself what a wonderful world.
Yes, I think to myself what a wonderful world.
10 Jan 2016
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Michel Delpech a hélas disparu trop tôt et mon coeur se serre!
www.youtube.com/watch?v=t8EqlDIkrx8
Il était cinq heures du matin
On avançait dans les marais
Couverts de brume
J'avais mon fusil dans les mains
Un passereau prenait au loin
De l'altitude
Les chiens pressés marchaient devant
Dans les roseaux
Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer les oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée
Un vol de perdreaux
Par dessus les champs
Montait dans les nuages
La forêt chantait
Le soleil brillait
Au bout des marécages
Avec mon fusil dans les mains
Au fond de moi je me sentais
Un peu coupable
Alors je suis parti tout seul
J'ai emmené mon épagneul
En promenade
Je regardais
Le bleu du ciel
Et j'étais bien
Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer des oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée
Un vol de perdreaux
Par dessus les champs
Montait dans les nuages
La forêt chantait
Le soleil brillait
Au bout des marécages
Et tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimé les accompagner
Au bout de leur voyage
Oui tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimer les accompagner
Au bout de leur voyage
22 Mar 2016
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Pour toutes les victimes de Bruxelles et de tout mon coeur avec leur famille
Je viens d'apprendre les attentats de Bruxelles et je suis anéantie......
Mais aujourd'hui je veux vous faire entendre la chanson de Jacques Brel pour ne pas perdre l'espoir
www.youtube.com/watch?v=SX-8jLFvHCI
C'était au temps où Bruxelles rêvait
C'était au temps du cinéma muet
C'était au temps où Bruxelles chantait
C'était au temps où Bruxelles bruxellait
Place de Broukère on voyait des vitrines
Avec des hommes des femmes en crinoline
Place de Broukère on voyait l'omnibus
Avec des femmes des messieurs en gibus
Et sur l'impériale
Le coeur dans les étoiles
Il y avait mon grand-père
Il y avait ma grand-mère
Il était militaire
Elle était fonctionnaire
Il pensait pas elle pensait rien
Et on voudrait que je sois malin
C'était au temps où Bruxelles chantait
C'était au temps du cinéma muet
C'était au temps où Bruxelles rêvait
C'était au temps où Bruxelles bruxellait
Sur les pavés de la place Sainte-Catherine
Dansaient les hommes les femmes en crinoline
Sur les pavés dansaient les omnibus
Avec des femmes des messieurs en gibus
Et sur l'impériale
Le coeur dans les étoiles
Il y avait mon grand-père
Il y avait ma grand-mère
Il avait su y faire
Elle l'avait laissé faire
Ils l'avaient donc fait tous les deux
Et on voudrait que je sois sérieux
C'était au temps où Bruxelles rêvait
C'était au temps du cinéma muet
C'était au temps où Bruxelles dansait
C'était au temps où Bruxelles bruxellait
Sous les lampions de la place Sainte-Justine
Chantaient les hommes les femmes en crinoline
Sous les lampions dansaient les omnibus
Avec des femmes des messieurs en gibus
Et sur l'impériale
Le coeur dans les étoiles
Il y avait mon grand-père
Il y avait ma grand-mère
Il attendait la guerre
Elle attendait mon père
Ils étaient gais comme le canal
Et on voudrait que j'aie le moral
C'était au temps où Bruxelles rêvait
C'était au temps du cinéma muet
C'était au temps où Bruxelles chantait
C'était au temps où Bruxelles bruxellait
26 Mar 2016
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Joyeuses Pâques à tous
www.youtube.com/watch?v=GH2-4D32azo
27 May 2016
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Bonne fête à toutes les mères
www.youtube.com/watch?v=fz3uHlM-ZVw
One bright and guiding light
That taught me wrong from right
I found in my mother's eyes
Those baby tales she told
Of pathways paved with gold
I found in my mother's eyes
Just like a wandering sparrow, a lonely soul
I'd walk the straight and narrow till I reach my goal
God's gift sent from above
One true unselfish love
I found in my mother's eyes
I found in my mother's eyes
Just like a wandering sparrow, a lonely soul
I'd walk the straight and narrow till I reach my goal
God's gift sent from above
One true unselfish love
I found in my mother's eyes
I found in my mother's eye
18 Jun 2016
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Pour tous les papas qui passeront par ici avec une tendresse particulière pour les amis
www.youtube.com/watch?v=If9_rZkK3Ys
Quand vous dansiez, en ce temps-là
Pas besoin de pédal' wa wa
C'était pas la bossa nova
Mais ça remuait bien déjà
Les caves étaient profondes
Et la ronde
Ne s'arrêtait pas
Un vieux piano bastringue
Et les dingues
Tournoyaient déjà
Mais Juliette avait encor' son nez
Aragon n'était pas un minet
Sartre était déjà bien engagé
Au Café de Flore y avait déjà des folles
Et mon père venait de débarquer
Il hantait déjà les boutiquiers
Dans sa chambre on croquait du café
Il ignorait qu'un jour j'en parlerais
Quand vous flirtiez en ce temps-là
Vous vous touchiez du bout des doigts
La pillu-le n'existait pas
Fallait pas jouer à ces jeux-là
Vous vous disiez "je t'ai-me"
Parfois même
Vous faisiez l'amour
Aujourd'hui deux salades
Trois tirades
Et c'est l'affaire qui court
L'oncle Adolph s'était déjà flingué
Son Eva l'avait accompagné
Des fois qu'il aurait voulu draguer
Qui sait si, là-haut, il n'y a pas de folles
Et mon père allait bientôt planter
Cette graine qui allait lui donner
Ce débile qui essaie de chanter
Il ignorait que viendraient mes cadets
Quand vous chantiez en ce temps-là,
L'argent ne faisait pas la loi.
Les hit parades n'existaient pas,
Du moins, ils n'étaient pas de poids.
Tu mettais des semaines
Et des semaines,
Parfois des années.
Si t'avais pas de tripes,
Ta boutique, eux,
Pouvaient la fermer
Et Trenet avait mis des années,
Brassens commençait à en baver
Et Bécaud astiquait son clavier.
Monsieur Brel ne parlait pas encore des folles
Et mon père venait de débarquer
Là où restait quelque humanité,
Là où les gens savaient encore parler
De l'avenir... même s'ils sont fatigués.
Et Juliette avait encore son nez,
Aragon n'était pas un minet.
Sartre était déjà bien engagé.
Au Café de Flore, y avait déjà des folles
Et mon père venait de débarquer
Là où restait quelque humanité,
Là où les gens savaient encore parler
De l'avenir... même s'ils sont fatigués.
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