Cactus de noel
Vivre heureux chez les Tziganes...Poussés par les…
A contre-courant dans un monde en mouvement
Derrière le miroir
On regarde le rainbow
But there are dreams that cannot be, .............…
Chacun pour soi est reparti. Dans l'tourbillon de…
Chiots Trognons !!!
Non je n'ai pas craqué ...
C'est moi le chef!!!!!! OK......
chiots 005
Des choses blues et roses
Mes trois Amours
Sur le papier ou sur la toile... jeter ...Ce qui r…
Rêve ou crève quand la vie ne laisse pas de trêve
De mes rêves et mes démons........................…
En bouteille !!!! Chiche
Ben oui!!! f
Parfums orangés .......De ces nuits orageuses,
Wanda
Tout va bien chez les Wanda
Mes certitudes ballottées ........Ces mots à peine…
Au fond du jardin ......au printemps
S'il fallait donner un nom..... A cette sensation…
Petite chaussure en porcelaine
Je prends de la hauteur.........Tout doucement en…
Aussi, de tous mes souvenirs Faits de bonheurs ou…
J'enfouis tout ce qui vient de lui comme un avare.…
Au cœur le chemin est bien plus beau que ce qui n'…
En rouge et noir, j'exilerai ma peur........ J'ir…
Et c'est le temps qui court, court ...............…
Se voi non comprendete...........almeno non ridete
J' décolle, j' quitte la scène, j' décolle .......…
Quelquefois, pour un sourire qu'on n'attend pas,
Dis toi toujours Que ça vaut la peine
Stockholm
Pieds à pieds à Carcassonne
Pour Sunny
Ciel et Ombre
Qui est-elle ? Que veut-elle ? Qu’attend-t-elle ?…
Les nuages sont peints en gris ...................…
You get up again ......Wipe the dust off your face…
Vue sur mer
Automne
See also...
Authorizations, license
-
Visible by: Everyone -
Attribution + non Commercial + no derivative
- Photo replaced on 17 Nov 2011
-
511 visits
Silencio !
Messieurs ! Assez plaisanté !
Chuuut ! Silencio !
Leçon de peinture : première !
Le noir !
Les bleus ! voilà…
Les verts, s’il vous plaît ?
Plus fort, plus de courage…
Les jaunes, les rouges…
Tous ensemble !
Merci messieurs !
Attention…
Quand je sors de Paris, Capitale poubelle,
Quand je fuis ses affiches qui m’engueulent en couleur,
Quand je laisse ses gris dans mon rétroviseur
Pour chanter quelque part, entre Loire et Moselle,
Je découvre ta face balayée d’hirondelles,
Et je redeviens peintre, et j’oublie le chanteur.
Ah ! Les ciels qui me donnent des leçons de peinture.
T’as des ciels, des tableaux de la Révolution.
Tes nuages crachés par d’énormes canons
Se bagarrent si haut quand on passe en voiture,
Qu’on dirait des navires en conquête d’Azur,
Et floconnent si bas, qu’ils me touchent le front.
Tes chaumières ont tout l’air de sortir d’une Bible
Rédigée par les soins d’un Moïse Normand,
Et tes prés sont d’un vert tellement comestible,
Qu’on s’y rêve cheval pour y paître un instant.
T’as des ciels de Vlamenque, mais d’un bleu qui voyage.
T’as des champs de Van Gogh, mais avec des odeurs.
T’as Monnet pour les eaux, les reflets, les vapeurs,
Et ces jungles fleuries dans les gares de village,
C’est tellement du Rousseau qu’on se dit c’est dommage,
Il y manque un lion souriant dans les fleurs.
Qu’ils me guident du ciel ou qu’ils soient à mes trousses,
Qu’ils soient d’or ou de cuivre, de brume ou de sang,
Ton soleil me révèle, selon l’heure ou le temps,
Des printemps japonais, des automnes de mousse,
Des étés pissenlits, patronnés par Larousse,
Des novembres de pluie, des hivers de diamants.
Et tes boules de gui suspendues dans le vide
Prouvent bien que la Gaule n’a jamais disparu,
Puisqu’elle est encore là, qui te lance un salut,
De ses mille ballons footballés par les druides.
Et pourtant, moi qui prend tes leçons de peinture,
Moi qui chante ta terre à tes propres enfants,
Moi qui, à force d’amour, ait perdu mon accent,
Et te taille en français des quatrains sur mesure,
Comme bien des amants, j’ai aussi ma blessure,
Que je garde secrète, mais qui saigne pourtant.
M’as-tu bien regardé ? J’ai la boucle Berbère.
M’as-tu bien écouté ? J’ai la voix d’un maçon.
C’est dans l’huile d’olive que je cuis mes chansons,
Et je parle des mains, et j’adore ma mère,
Et j’ai tant de pogromes dans mon cœur millénaire,
Que j’hésite parfois à manger du jambon.
Tu commences à comprendre pourquoi je m’inquiète,
Quand je vois le mépris qu’ont parfois tes enfants,
Pour les Noirs, les Arabes, les Juifs, les Gitans
Qui n’ont pas le talent de passer pour poètes.
C’est au nom de tes ciels aux mouvantes peintures,
C’est au nom des concerts que dirigent tes vents,
C’est au nom de ma chance et de tant de tourments
Que je pose à présent ma question, ma blessure :
Est-ce vrai qu’on t’encombre avec notre nature,
A moins qu’on ne l’exprime d’une scène en chantant.
mARTin Piché, , Léopold have particularly liked this photo
- Keyboard shortcuts:
Jump to top
RSS feed- Latest comments - Subscribe to the comment feeds of this photo
- ipernity © 2007-2024
- Help & Contact
|
Club news
|
About ipernity
|
History |
ipernity Club & Prices |
Guide of good conduct
Donate | Group guidelines | Privacy policy | Terms of use | Statutes | In memoria -
Facebook
Twitter
Krisonteme club has replied to Léopold clubKrisonteme club has replied to mARTin PichéSign-in to write a comment.