La cuisinière de la cantina
Le temple du soleil
Pêcheurs d'huîtres
La forêt d'émeraude
A la recherche de l’arche perdue
Monte Alban
Site archéologique maya de Palenque
Lumières de Thaïlande
il est frais mon poisson !
Chiens de pêche
Arrivé à bon port
Retour de pêche
La pêche est finie
En attendant la marée - 2
En attendant la marée - 1
Vue sur mer
Retour de marée - 2
Retour de marée - 1
Le petit nettoyeur de coque
Même pendant la pause, le service continue
En attendant la prochaine marée
Les forçats de la mer
Un amarrage musclé
Indiens du chiapas
La lagune de Veracruz
Une image clandestine qui ressemble à une photo vo…
Ni vu, ni connu !
Les marchands hors du temple !
Marché perché
Le triporteur rêveur
Abus de tequila ?
Photo clandestine
Une petite pièce s'il vous plaît !
C'est pénible de jouer quand personne n'écoute !
Quelques notes pour quelques pésos
Le musicien halluciné
Musique traditionnelle électrifiée à Oaxaca
Encore une danse...
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Quand on aime on a toujours 20 ans
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1/200 • f/4.0 • 200.0 mm • ISO 800 •
NIKON CORPORATION NIKON D750
AF-S Nikkor 70-200mm f/4G ED VR
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Indiens Lacandons
Chiapas (Mexique) - Ces petites filles appartiennent à la tribu des Lacandons. Ces amérindiens seraient d’origine Maya-Yacatèque. Les Lacandons se dénomment eux-m^mes « Hala’ch Uinic », ce qui signifie les « vrais hommes ».
Ces chasseurs-cueilleurs semi-nomades ont longtemps vécu au fin fond de la jungle, restant en dehors de la civilisation. Ils sont aisément reconnaissables en raison de leurs cheveux longs et des tuniques blanches portées par les hommes. Les femmes, elles, portent des robes fleuries. Si elles portent toujours de telles tenues, ces dernières sont désormais en tissus imprimés et manufacturés achetés sur les marchés locaux.
Selon les derniers recensements, les Lacandons ne seraient guère plus de 500 âmes, réparties en petites communautés. La déforestation ayant détruit la majore partie de leur habitat, ils ont été rattrapés par la « civilisation ». Ils vivent désormais du tourisme en faisant visiter leurs villages et en organisant de petites balades dans les forêts.
Ne vous faites donc pas d’illusions, je n’ai pas pris cette photo après une immersion de plusieurs semaines au fin fond de la jungle du Chiapas, au sein d’une tribu éloignée de tout. Je suis arrivé en bus tôt le matin, en venant de Palanque par la route qui mène à la frontière guatémaltèque.
Le soir, un taxi est venu nous chercher et nous a déposé sur la route principale d’où nous avons repris une autre bus pour retourner à Palanque.
Moyennant un poignée de pesos, il est quand même possible de passer une ou plusieurs nuits sur place en louant des hamacs.
La photo des petites filles a été prise dans la rivière qui longe le village ne comportant qu’une dizaine de maisons et une « cantina » pour les touristes.
Ce sont surtout des voyageurs individuels qui viennent visiter cette communauté. Au programme, une promenade de deux heures et demi dans la « jungle », jusqu’aux cascades où il est possible de se baigner.
Le guide est une femme du village. Pour ne pas casser l’ambiance, seuls des groupes constitués d’une dizaine de personnes sont acceptés. Pas plus.
Une petite partie de l’argent recueilli par les agences de Palanque sont reversés à la communauté. Somme à laquelle s’ajoute le prix du repas pris dans la « cantina » et la vente de quelques objets artisanaux. L’aventure n’est plus ce qu’elle était.
Voir aussi PIP : www.ipernity.com/doc/1922040/50323656
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Ces chasseurs-cueilleurs semi-nomades ont longtemps vécu au fin fond de la jungle, restant en dehors de la civilisation. Ils sont aisément reconnaissables en raison de leurs cheveux longs et des tuniques blanches portées par les hommes. Les femmes, elles, portent des robes fleuries. Si elles portent toujours de telles tenues, ces dernières sont désormais en tissus imprimés et manufacturés achetés sur les marchés locaux.
Selon les derniers recensements, les Lacandons ne seraient guère plus de 500 âmes, réparties en petites communautés. La déforestation ayant détruit la majore partie de leur habitat, ils ont été rattrapés par la « civilisation ». Ils vivent désormais du tourisme en faisant visiter leurs villages et en organisant de petites balades dans les forêts.
Ne vous faites donc pas d’illusions, je n’ai pas pris cette photo après une immersion de plusieurs semaines au fin fond de la jungle du Chiapas, au sein d’une tribu éloignée de tout. Je suis arrivé en bus tôt le matin, en venant de Palanque par la route qui mène à la frontière guatémaltèque.
Le soir, un taxi est venu nous chercher et nous a déposé sur la route principale d’où nous avons repris une autre bus pour retourner à Palanque.
Moyennant un poignée de pesos, il est quand même possible de passer une ou plusieurs nuits sur place en louant des hamacs.
La photo des petites filles a été prise dans la rivière qui longe le village ne comportant qu’une dizaine de maisons et une « cantina » pour les touristes.
Ce sont surtout des voyageurs individuels qui viennent visiter cette communauté. Au programme, une promenade de deux heures et demi dans la « jungle », jusqu’aux cascades où il est possible de se baigner.
Le guide est une femme du village. Pour ne pas casser l’ambiance, seuls des groupes constitués d’une dizaine de personnes sont acceptés. Pas plus.
Une petite partie de l’argent recueilli par les agences de Palanque sont reversés à la communauté. Somme à laquelle s’ajoute le prix du repas pris dans la « cantina » et la vente de quelques objets artisanaux. L’aventure n’est plus ce qu’elle était.
Voir aussi PIP : www.ipernity.com/doc/1922040/50323656
Champland, Ernest CH, , Sylvain Wiart and 64 other people have particularly liked this photo
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Quand est-ce que les hommes vont comprendre que la déforestation nous tue petit à petit en privant la terre de son oxygène, sans parler des nombreuses variétés végétales et animales qui disparaissent, et qui entraîne aussi la fin de ces tribus qui vivent en harmonie avec la nature sans la détruire ? !
Amitiés
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Magnifique image!
Splendid texte qui témoigne la réalité du actuelle et le tourisme de masse
Aujourd'hui le tourisme d'aventure est une fiction
J'apprécie énormement la civilisation Maya
J'ai visité México en 1987, deux ans après le séisme de 1985
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