Madame Schangatram
Filles de rois
Fils de rois
Place du Sénat
Place du Sénat
Engueulade dans l'Himalaya
La jeune fille aux yeux verts
Gardiens de troupeaux
Malana peoples orchestra
Musiciens en procession
Sur un balcon à Malana
Cardage de la laine
Fresques multicentenaires
Fille de rois
L'activité reine : le travail de la laine
Gardienne de chèvres
Un paradis perdu
La petite fille des hautes cimes
Musiciens-montagnards
Habitation à loyer modéré (HLM)
C'est la fête au village
Danse rituelle
Place du Sénat
"Malana peoples"
Premier contact
1/125 • f/19.0 • 55.0 mm • ISO 560 •
NIKON CORPORATION NIKON D300
AF-S DX Zoom-Nikkor 17-55mm f/2.8G IF-ED
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Photos avec un message, une alerte , une émotion, un symbole, une réflexion, une drôlerie
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+9999 photos no limits, no restrictions, no conditions
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I LOVE IT ! ★ J'AIME CELA ! ★ DAS LIEBE ICH ! ★ MI PIACE MOLTO !
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L'intérêt que l'on porte à l'autre s'exprime dans un cadre serré
Malana (Inde) - Un autre portrait de "fils de rois". Je présente cette photo pour illustrer un aspect de ma démarche photographique.
Ce cadrage très serré n'est guère orthodoxe. On pourra me rapprocher d'avoir coupé dans le calot de laine. Peine perdue. J'assume. J'affectionne ces plans "rentre-dedans" qui ont longtemps caractérisé ma façon de cadrer les portraits.
Le calot amputé n'amoindrit en rien l'expression intimidée de cet homme. Intimidé, il l'est ; pas impressionné. J'ai plusieurs autres photos du même personnage qui me gratifie d'un large sourire.
Un ami m'a récemment dit que je parle avec mes yeux. C'est pratique quand il y a le barrage de la langue.
Avec l'obligation du port du masque en raison du Covid 19, je pense conserver un avantage si mon dit vrai.
Si je suis intrusif, c'est avec le consentement implicite des personnes photographiées. Pour moi, approcher les gens de très près, a longtemps été ma façon de démontrer l'intérêt que je leur porte. Quand on est accepté si près, c'est que toute crainte de l'autre a disparue.
Certes, aujourd'hui je suis revenu à des photos plus larges, pour mieux les contextualiser et les adapter à une vision plus documentaire.
Mais franchement, quand je vois cette photo, et même si l'on ne voit pas les yeux de ce vieil homme, je me demande si je ne vais pas de nouveau reprendre cs cadres serrés ?
De toute façon, je suis toujours à mon aise dans la proximité avec les autres. Quand je les photographie, je leur parle. Même s'ils ne me comprennent pas. Si le regard a son importance dans la communication, le son de la voix peut aussi facilité l'approche.
A l'avenir, avec un masque sur la bouche et le nez et un appareil photo devant les yeux, ça ne va quand même pas faciliter la communication.
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Ce cadrage très serré n'est guère orthodoxe. On pourra me rapprocher d'avoir coupé dans le calot de laine. Peine perdue. J'assume. J'affectionne ces plans "rentre-dedans" qui ont longtemps caractérisé ma façon de cadrer les portraits.
Le calot amputé n'amoindrit en rien l'expression intimidée de cet homme. Intimidé, il l'est ; pas impressionné. J'ai plusieurs autres photos du même personnage qui me gratifie d'un large sourire.
Un ami m'a récemment dit que je parle avec mes yeux. C'est pratique quand il y a le barrage de la langue.
Avec l'obligation du port du masque en raison du Covid 19, je pense conserver un avantage si mon dit vrai.
Si je suis intrusif, c'est avec le consentement implicite des personnes photographiées. Pour moi, approcher les gens de très près, a longtemps été ma façon de démontrer l'intérêt que je leur porte. Quand on est accepté si près, c'est que toute crainte de l'autre a disparue.
Certes, aujourd'hui je suis revenu à des photos plus larges, pour mieux les contextualiser et les adapter à une vision plus documentaire.
Mais franchement, quand je vois cette photo, et même si l'on ne voit pas les yeux de ce vieil homme, je me demande si je ne vais pas de nouveau reprendre cs cadres serrés ?
De toute façon, je suis toujours à mon aise dans la proximité avec les autres. Quand je les photographie, je leur parle. Même s'ils ne me comprennent pas. Si le regard a son importance dans la communication, le son de la voix peut aussi facilité l'approche.
A l'avenir, avec un masque sur la bouche et le nez et un appareil photo devant les yeux, ça ne va quand même pas faciliter la communication.
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Jean-luc Drouin club has replied to Annaig56 clubQuant à l'âge de cet homme sur la photo, ne te fais pas d'illusion il doit être âgé de 60 ans, 65 tout au plus. La vie à Malana, sans suivi sanitaire, est rude. Leurs visages en témoignent.
Annaig56 club has replied to Jean-luc Drouin clubJean-luc Drouin club has replied to NautilusMoi aussi au début j'avais du mal à aller vers les autres. J'étais d'une timidité maladive. Et puis... Je me suis soigné ! Aujourd'hui j'ai un comportement aux antipodes de ce qui était initialement ma nature profonde.
OUI .. tout se lit dans le regard il est le reflet
de l'âme.. !
lorsque je peignais encore, le plus difficile
était tjs de faire coller au plus juste, l'expression des yeux par rapport au sujet
que je peignais
Excuse moi mais en français cela ne sort pas avec les mots comme je sens.
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