Internet recrée la véritable Démocratie. Et il permet de dévoiler tous les mensonges et de désamorcer les campagnes de manipulation et de tromperie : http://ploutopia.over-blog.com/article-la-grippe-a-et-la-societe-civile-l-avenement-d-un-3e-pouvoir-fort-39269610.html

Abolissant la notion de Producteur-consommateur, expert-amateur, il permet à chacun de s'exprimer selon son expérience et ses compétences sur un terrain d'égalité, de former des communautés sans hiérarchie, de projeter des actions solidaires, d'échanger avec tous les citoyens du Monde sans à priori, juste par le seul intérêt de l'information, de l'enseignement, la curiosité de l'Etre pour un autre Etre. Nous sommes en pleine démocratie. Démocratie planétaire, je le souligne. Grâce à Internet, nous repoussons en douceur le capitalisme barbare. La notion de travail est synonyme de valeur et non plus d'argent. Les jeunes sont imprégnés maintenant de la culture Internet qui loin, de les lobotomiser, les élève au contraire dans une sphère quasi spirituelle où il n'est plus question de monnayer son savoir. En effet, nous voyons se multiplier les échanges de compétences dans un pur souci d'entraide. Nous sommes des millions à "travailler" sur Internet sans pour cela demander en retour des espèces sonnantes et trébuchantes. Il me semble évident que la civilisation démocrate basée sur la solidarité c'est-à-dire une démocratie pure est en train de naître sur Internet. Garante des Droits de l'Homme et du Citoyen dans sa forme la plus pure, elle aura à lutter contre le capitalisme barbare. Mais nous sommes des milliards, nous devrions faire le poids !


(drapeau des "anonymous")



comme dit Jérôme Bourreau (c'est son vrai nom) :

Internet est une bibliothèque universelle, la source inépuisable du savoir et des connaissances accessible à tous. C’est également le vecteur des libertés, de l’expression des opinions, le point commun entre 1,4 milliards d’internautes, le reflet de la société contemporaine. La révolution numérique a donné aŭ citoyens les moyens de participer au débat public, de travailler ensemble pour faire face aŭ défis de la pauvreté, du changement climatique et de l'économie. Nous vivons un moment unique dans l’histoire de l’humanité, celui de créer une véritable société mondiale.

C’est notre devoir de protéger et de transmettre aŭ générations futures, l’immense espoir que représente Internet, celui de construire un monde meilleur.

on comprend que les Maîtres du Monde aient peur d'Internet, et qu'ils vont essayer de tout faire pour le saboter et le censurer ( ça commence !!! l'Australie cherche à faire accepter de mettre le doigt dans l'engrenage .... ) Attention !!
c'est sûr qu'il péféreraient qu'on continue à ne regarder que la machine à décerveler

Comme dit quelqu'un sur un forum de 01Net :

LES ÉTATS FONT LA GUERRE A INTERNET CAR IL RASSEMBLE LE PEUPLE ET LUI OUVRE LES YEUX SUR TOUTES LES MANIPULATIONS DE LA CLASSE POLITIQUE ET PATRONALE

comme dit Jean-Pierre Petit : "Bill Gates ne sera pas assez bête pour rendre Fritz opérationnel immédiatement. Il fera en sorte que les gens s'habituent au concept. Les actions de Fritz seront au départ très limitées, en axant sur la sécurité que cela apporte à l'usager. Gates ira par petites touches. C'est la technique de la cuisson de la grenouille en faisant chauffer l'eau très doucement pour qu'elle ne s'aperçoive de rien. C'est ce que je ferais à sa place. En même temps qu'il implantera Fritz, Gates s'efforcera d'offrir des services de plus en plus intéressants, pour rendre sa clientèle dépendante. Puis il serrera les boulons progressivement, un à un, en douceur. Je ne suis pas sûr que passer au Mac sera suffisant. Cette contrainte de fer va devenir planétaire. On créera des lois pour cela. Le danger lié à cette liberté incontrôlable est beaucoup trop grand. Vous êtes trop habitués à cette liberté pour vous rendre compte de ce qu'elle représente, potentiellement : un lien entre tous les hommes de la Terre. Je pense que dès maintenant les gens qui sont susceptibles de combiner les logiciels libres et le hardware libre doivent élaborer un plan d'évasion hors du filet de Microsoft. Avec le net le léviathan a laissé s'échapper un espace de liberté inacceptable. Les médias sont under control, pas la toile. La loi Faure montre la nervosité avec laquelle les gens de pouvoir cherchent à remettre ce chat dans son sac. Tout, absolument tout sera mis en oeuvre pour étouffer nos moyens d'expression. Internet est anarchique, mais a déjà ouvert des fenêtre sur des mondes jusqu'ici clos, verrouillés, comme celui de la publication scientifique par exemple. Il existe déjà des journaŭ aŭquels ont peu s'abonner, qui livrent à domicile en format pdf, comme celui du réseau Voltaire. Tout cela pourra prendre de l'ampleur. Ces circuits auront leurs propres pourvoyeurs d'images, de qualité. Le haut débit fera émerger des chaînes de télévision hors du contrôle des trusts. Déjà, les éditeurs ne peuvent plus tuer des livres Les revue scientifiques, les journaŭ sont devenus des ... tigres de papier."

« Toutes les libertés dépendent de la liberté informatique, elle n’est pas plus importante que les autres libertés fondamentales mais, au fur et à mesure que les pratiques de la vie basculent sur l’ordinateur, on en aura besoin pour maintenir les autres libertés. Profitant de la faiblesse de la démocratie contemporaine, les grandes entreprises sont en train de prendre le contrôle de l’État, ce sont elles qui contrôlent les lois, pas les citoyens. »

(Richard Stallman)



inutile de dire qu'Ipernity faisait justement partie (mais ce n'est plus le cas ) des exemples frappant de cete nouvelle conquête de liberté d'égalité et de fraternité mondiale et sans barrières
(un autre site qui à sa manière participe tout à fait de ces valeurs et de ces buts est celui-ci, que je recommande : http://www.savoir-sans-frontieres.com/ )

Une excellente étude qui montre l'inanité de la manière actuelle de prétendre défendre les "droits d'auteurs":
http://www.partipirate.org/blog/com.php?id=1336
"Agir comme un distributeur volontaire des productions culturelles est une capacité fondamentale de près de deŭ milliards d’êtres humains. Un jour, on se demandera comment il fut possible à certains d’entre nous de vouloir priver leurs concitoyens de cette capacité. Dans la Grèce antique, quand l’écriture alphabétique se répandit et permit de transcrire la parole, certains prêtres et philosophes virent dans cette capacité un sacrilège et un risque de destruction de leur civilisation. Heureuseument, l’écriture ne fut pas mise hors la loi, mais il fallut des millénaires pour que la majorité des populations se l’approprie. Espérons qu’il ne faudra pas autant de temps, pas même un siècle, pas même dix ans, pour reconnaître le partage."